• 04 Envie de Jérémie pendant les cours

     Bonjour à toutes et à tous !fabien75fabien@yahoo.fr       Bonjour à toutes et à tous ! Jérém&Nico       Bonjour à toutes et à tous ! jeremXnico      Bonjour à toutes et à tous ! pour participer à cette aventure

     

    Le lendemain de ce premier après midi de baise avec le beau Jérémie, je retournais en cours très impatient de le revoir et surtout de savoir s'il avait envie de recommencer. Comment me comporter avec lui? Comme si de rien n'était? Ce qui s'était passé, nous aurait-t-il rapprochés? Une complicité inattendue aurait-t-elle pris la place de l'indifférence qu'il m'avait montrée jusqu'à là? Je rêvais les yeux ouverts...
    Balayant de mon regard fébrile l'espace autour de moi, impatient de le voir, je le cherchais dès mon approche du lycée.
    Je le croisai dans un couloir, juste avant le début du premier cours. Comment décrire la beauté de sa tenue à quelqu'un qui ne l'as pas vue? Un t-shirt noir col rond, parfaitement coupé, sculptait le relief de ses pectoraux et dessinait avec une précision redoutable la forme en V de son torse de nageur; un petit jean délavé bien ajusté finissant sur des chaussures bleu pétard complétait sa tenue, un ensemble comme toujours très simple mais tellement masculin, redoutablement sexy. Pour parachever le tout, et me faire craquer à souhait, voilà ce tatouage dessiné juste en dessous de la manchette droite, gravé sur cette peau mâte que je savais désormais être d'une telle douceur ... et que dire de ce petit grain de beauté dans le cou juste au dessus de la ligne du col du t-shirt... juste une envie folle de l'embrasser à cet endroit. Putain, il était trop trop bandant. Brun, jeune, débordant de virilité et de puissance, tout simplement beau. J'avais qu'une envie, c'était de me mettre à genoux devant lui et de le sucer.
    Salut - je lui lançai, avec une esquisse de sourire.
    Salut - me jeta-t-il froidement, en passant son chemin.
    Cinq minutes après, j'étais assis en cours à quelques bancs de lui. Je n'arrivais pas encore à croire que hier après midi ce beau male m'avait laissé accéder à sa sexualité, à sa virilité. Il m'avait fait ce cadeau. Mon fondement pulsait encore du souvenir de ses coups de butoir, ma gorge conservait la puissance de ses assauts, ma bouche gardait le souvenir de la vigueur de ses jets et de son goût de jeune mâle. Mes doigts, ma langue et mes fesses, la sensation jouissive du contact avec l'extrême douceur de sa peau... Je n'arrivais pas à décrocher mon regard de ce corps magnifique qui m'avait donné tant de plaisir quelques heures plus tôt. Je sentais ma queue gonfler dans mon caleçon rien qu'en repensant à tout cela.
    Assise à côté de lui, voilà Anaïs, sa copine du moment: je l'imaginais en train de se faire sucer par elle, en train de la sauter, et je me demandais s'il prenait avec elle autant de plaisir qu'il semblait en avoir pris avec moi.
    C'était quoi au juste ce qui s'était passé hier? Rien qu'un coup? Un extra? Juste pour voir? Etais je le premier mec pour lui, tout comme lui il l'avait été pour moi?
    En tout cas, rien que de le regarder c'était un pur bonheur: négligemment appuyé au dossier de sa chaise, le buste incliné, les jambes allongées et croisées sous la table, le t-shirt tendu sur son torse parfait, la petite chaine abandonnée sur le coton noir, sa poitrine qui monte et descend, ondulant au rythme de sa respiration ample et paisible, le regard fixé vers un point indéfini de la pièce, Jérémie était jouissif à mater. Tout ce qui constituait la beauté du monde à mes yeux à ce moment précis, était assis là, sous mes yeux. Je sentais en moi une excitation, un frémissement qui partait de mes tétons frottant contre mon t-shirt, une vibration qui se propageait à mon nombril, à mon ventre, à ma queue jusqu'à pulser entre mes fesses là où le souvenir du premier passage de son gourdin était encore très vif. Mon désir était brulant, mon envie de lui totale, la queue dure comme un piquet. Bref, j'avais envie de lui sauter dessus.
    J'étais tellement absorbé dans mes pensées que la prof de français me rappela à l'ordre. Heureusement elle n'avait pas remarqué, ou du moins pas relevé, que je n'arrivais pas à détacher mes yeux de Jérémie... je pensais à la chanson de Gloria Gaynor "you're just to good to be true/can't take my eyes out of you...". A force de le regarder, à un moment je finis par croiser son regard de braise: je fus sidéré de voir dans ses yeux, en lieu et place de son petit sourire charmeur, un regard bien noir qui ne signifiait qu'une chose, qu'il fallait que j'arrête de le mater.
    Putain que je suis con, tu l'as braqué, t'as cramé toutes tes chances... Je m'en voulais, je commençai à transpirer, mon visage était en feu. De plus, j'avais l'impression que tout le monde avait remarqué mon manège. Putain, j'aurai du me maitriser... Mais comment faire, et merde à la fin, alors que je crevais d'envie, envie de lui, envie de ses envies. Ce fut le seul contact que j'eus avec lui pour le reste de la journée. Par ailleurs, j'avais l'impression qu'il m'évitait.
    Pendant la pause je le vis rouler un patin à Anaïs. Je crus reconnaitre dans le regard de cette fille le même désir qui faisait vibrer mon corps à la simple vue de Jérémie. Elle aussi avait envie de le sucer et de prendre son gourdin entre ses cuisses. Elle aussi avait envie de faire l'amour avec lui sur le champ. J'avais envie de l'embrasser aussi et cet idée me fit bander encore de plus belle.
    J'attendis toute la journée un signe de sa part mais rien de tel ne vint. Ce soir là il avait entrainement de rugby et il ne demanda pas ma compagnie, ni pour des révisions, ni pour autre chose. J'avais l'impression qu'il m'en voulait.
    Le soir, dans mon lit, en me branlant pour trouver le sommeil, je me disais que je n'avais été pour lui qu'une aventure sans suite. Et que de toute manière j'avais tout gâché avec mon comportement de midinette en chaleur.
    Le lendemain, mercredi, j'étais censé réviser chez moi. Je passai la journée à me branler en repensant à Jérémie et en angoissant pour la suite de nos relations.

    Il m'aurait fallu attendre jusqu'au jeudi pour le revoir. Depuis le matin, je décidais de me ressaisir. Mot d'ordre: éviter de me faire du mal, éviter de le regarder. Mais comment faire... lui aussi, putain, il n'avait qu'à pas être si mignon! Et en plus il y mettait le formes... Encore un t-shirt noir, col en V cette fois, mettant en valeur son physique plus qu'avantageux; et la petite chaine posée sur la peau de son torse, qui avait en plus l'air d'être rasé de près; et son brassard... Pour m'achever, voilà que la veille il avait trouvé le temps d'aller chez le coiffeur, ses cheveux étaient plus courts, surtout sur les cotés et derrière la nuque. Tout ce que j'aime chez un mec... Résister à la tentation de le mater était une torture. Mais je décidai de me faire violence et de me concentrer sur les cours...
    Ce ne fut qu'en fin d'après midi que mes angoisses se dissipèrent. Jérémie s'approcha de moi pour me lancer discrètement:
    Viens réviser chez moi dans 15 minutes.
    J'étais le mec le plus heureux de la terre.
    Dix minutes après j'étais devant sa porte. Il m'avait invité pour des révisions, mais il n'était là plus questions de maths; il s'agissait désormais de révisions de géo, oui, la géographie du physique, de la sexualité et du plaisir d'un jeune homme au charme ravageur.
    Je n'avais pas tapé deux coups à sa porte que le battant s'ouvrit, laissant apparaitre le bel apollon dans toute sa splendeur. Il referma la porte derrière moi, prit appui sur le mur juste à coté, et enleva son t-shirt noir dévoilant sa magnifique nudité. Putain que ça lui allait bien ce t-shirt noir, comme un gant. Et putain comme ça lui allait mieux encore, sans t-shirt. Décidemment tout lui allait, et tout particulièrement la nudité. Je ne m'étais pas trompé: il avait rasé son torse de près. J'étais aveuglé par le désir...
    Viens me sucer - me lança-t-il adossé au mur, la ceinture et le premier bouton de son jean défaits laissant entrevoir un bout de son caleçon bleu. Je saisit le bord inferieur de mon t-shirt blanc pour l'enlever mais Jérémie m'intima de le garder.
    Une expression sensuelle, une étincelle lubrique dans son regard m'autorisa à imaginer qu'il avait envie d'une sexualité sans tabous, du genre qui ne devait pas être à l'ordre du jour ni avec Anaïs ni avec ses autres conquêtes féminines, souvent trop entravées par le refus de la soumission au sexe masculin pour savoir correctement donner du plaisir à un mec. Ou alors, ayant exploré avec ses nombreuses conquêtes toutes les facettes de la sexualité hétéro, il regardait désormais vers d'autres horizons de jouissance, il envisageait de goûter à de plaisirs inédits. Peut-être cherchait-t-il ni plus ni moins qu'un esclave sexuel, un vide couilles disponible à la demande et ne sachant rien lui refuser d'un plaisir qu'il voulait totalement débridée: à ce compte là, j'étais l'homme de la situation.
    Une seconde plus tard j'étais à genoux, j'avais descendu son jean et son caleçon bleu et je m'accrochais à ses jambes musclées pour donner de l'élan à ma fellation. Putain de mec, il avait également rasé autour de son sexe...
    Putain, je l'entendais gémir, putain de bouche à pipes... Vas-y, avale la bien...
    Il sentait vraiment bon, ce mélange de parfum pour mec et d'odeur de sexe masculin, la douceur et la tiédeur de sa peau me faisaient tourner la tête. Son bassin assenait désormais de grands coups dans ma bouche. C'était un mouvement assez violent, cadencé par sa respiration bruyante suivant le rythme de ma fellation. Je sentait qu'il avait envie de jouir dans ma bouche. Pour lui donner encore plus de plaisir, je levai mes bras pour lui titiller le tétons. Je le senti frissonner et ma queue en tressaillit.
    Putain, putain, t'es vraiment une bonne salope, tu aimes la queue, tu aimes ça, hein? Vas y, lèche moi les couilles...
    Je m'exécutai avec grand bonheur, tout en continuant à le branler. Il aimait ça.
    Quelques minutes plus tard, il fourra sa bite au fond de ma gorge et après quelques foulées il m'inonda la bouche de ce liquide chaud et épais que j'avalai sans besoin qu'il m'y invite. Ma langue s'affaira autour de son gland pour rien laisser de ce nectar parfumé. Jérémie remonta alors son caleçon et son jean et sortit torse nu sur la terrasse pour fumer sa cigarette.
    J'avais une trique pas possible, le cul en feu: je le regardais à travers la baie vitrée torse nu au soleil, une pure vision de bonheur. J'avais trop envie de lui. J'étais encore à genoux et je décidai de m'allonger sur le lit pour l'attendre.
    Lorsqu'il revint, il me dit d'un ton froid et autoritaire - enlève ton jean, baisse ton caleçon et met toi sur le ventre... tu vas te prendre un sacré coup de queue...
    T'as envie de ça, n'est pas ma salope - je le sentis proférer derrière moi quand je me fus acquitté de ses ordres - vas y dis le!
    Oui, s'il te plait, défonce moi le cul avec ta queue de mec hétéro bien actif, fais de moi ta salope, inonde moi de ton jus...
    Il cracha dans sa main et en enduisit sa queue; il écarta mes fesses et cracha deux fois sur ma rondelle. il appuya son gland et je sentis mon sphincter se distendre et laisser passer la queue de Jérémie jusqu'à la garde. Il s'arrêta au fond, savourant le chaud enserrement de mon ti trou autour de son sexe.
    Tu la sens bien là, mon cochon? Tu as envie que je te baise...
    Oui, oui, s'il te plait...
    Et là il commença à se faire plaisir: avec le coin de l'œil j'apercevais un peu de sa silhouette, un peu de ses mouvements à la recherche du plaisir viril; mes narines aspiraient le parfum de sa peau, mes hanches, me épaules, essuyaient la prise puissante, la domination de ses mains, mes oreilles entendaient ses mots, mes fesses et mon anus recevaient les assauts de sa queue; mais une fois encore il était derrière moi, et j'étais ainsi privé de l'image de ce beau mec en train de me baiser.
    Il me pilonna pendant de longues minutes avec une cadence terriblement sensuelle. Il m'éclatait littéralement le cul. Il s'arrêta un instant, bien au fond de moi.
    Dis moi de quoi tu as envie, espèce de chienne en chaleur!
    J'ai envie de ta semence bien au fond de mon cul passif... envie que tu te vides en moi, j'ai envie de satisfaire tous tes besoins de mec, j'ai envie de te vider les couilles...
    Mais tu es vraiment une grosse salope, tu vas prendre cher...
    Il m'attrape alors par les épaules et commença à augmenter le tempo. C'était violent mais terriblement excitant. A chaque coup de rein mon corps était projeté en avant, tandis que ses couilles frappaient mes fesses et son gland se poussait de plus en plus loin dans mes entrailles.
    Putain de cul à foutre, tu vas te prendre des bonnes giclées...
    Oui, oui, oui, vas y, fourre mon ti cul de ta semence...
    Tu le veux, n'est pas, tu vas l'avoir mon foutre dans ton cul, t'attends que ça, je vais t'inonder avec mon jus, je vais me vider en toi
    Oh oui, oh oui, oh oui...s'il te plait...
    Pendant que ses coups de reins ralentissaient, il lâcha, la voix cassée par le pic d'excitation qui entoure l'orgasme:
    Tiens ma salope, ça vient, ça vient, oui, oui, oui, tiens!... prend ça!... prend ça!... et ça!...
    Il était en trains de jouir. Chaque coup de rein, chacune de ses exclamations correspondant désormais à une bonne giclée de sperme fourrée au plus profond de mon intimité. J'étais baisé et comblé, même si j'étais frustré de ne pas l'avoir vu en train de me baiser et de jouir. Il resta en moi pendant quelques instant, j'adorais sentir sa queue me posséder encore après l'orgasme, et sentir la mienne pulser d'excitation.
    Quand il sortit de moi, il m'ordonna:
    Remonte ton caleçon et retourne toi.
    Je le regardais, le torse dégoulinant de sueur. C'était beau. Ce mec, ce canon de mec, s'était vidé dans mon cul après m'avoir ramoné le cul pendant un long moment. J'étais aux anges. Et en plus ce n'était pas fini.
    Me voilà allongé sur le lit, le cul cassé et plein de son sperme. Il se mit califourchon assis sur mon torse toujours recouvert par mon t-shirt. Prenant appui sur ses genoux, il enfonça sa queue dans ma bouche. Elle avait à peine perdu de sa vigueur; mais voilà que, caressée par mes lèvres et fouettée par ma langue, je la sentais grossir au fond de ma gorge. Un bonheur sans égal. Je me laissai baiser la bouche à son gré jusqu'au moment où il la retira et, se relevant davantage sur ses genoux, il avança son bassin vers ma bouche pour venir poser ses couilles sur mon nez.
    Lèche les!
    Je descendis avec ma langue à ses coucougnettes bien pendantes et, un moment durant, ma langue joua avec, procurant à Jérémie un vrai plaisir. C'est indescriptible la sensation de découvrir la géographie érogène du physique d'un beau gosse.
    A force de jouer avec ma langue dans son entrejambes, je finis par m'approcher de sa rondelle.
    Putain t'es une vraie salope, vas y lèche mon fion...
    Et en disant cela, il se retourna de façon que j'aie un accès plus facile à son ti trou.
    Continue, vas y, enfonce ta langue bien au fond...
    J'étais tellement excité, d'autant plus que je sentais désormais son jus suinter de mon ti trou et couler au long de ma raie.
    Je pris ses fesses musclées et je les écartai pour aller encore plus loin avec ma langue.
    A un moment je sentis son sphincter se contracter à plusieurs reprises au même temps que plusieurs jets allaient frapper violemment le coton de mon t-shirt et d'autres aspergeaient copieusement mon caleçon, pile autour de cette bosse que formait ma queue.
    Il essuya sa bite dans mon t-shirt et il se leva.
    Tu devrais y aller, mec, je dois sortir aussi. Il me tendit alors une chemise à passer par dessus mon t-shirt trempé de sa jouissance. Au troisième orgasme, la quantité de jus était impressionnante. Qu'est ce qu'il avait du fourrer alors dans mes entrailles...
    Lorsque j'attrapai la porte de sa chambre pour partir, il me lança durement:
    Eh mec, si tu veux continuer à venir réviser ici, arrête de me mater en cours, sinon ça va pas la faire du tout!
    Ok, je ferai attention.
    T'as intérêt!
    Salut, à demain...
    C'est ça...
    Ce soir là, dans mon lit, je me branlai trois fois en reniflant tour à tour sa chemise qui portait l'odeur frais et jeune de sa peau et celui captivant de son parfum et mon t-shirt qui portait, lui, l'odeur intense et délicieux de la virilité de Jérémie.


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