29 Décembre 2016
Mon portable émet un petit son aigu… un message... le genre de message qui contient à mes yeux plus de poésie que l’intégrale de Baudelaire : « vestiaire mtn». Je stoppe net sur le trottoir que je viens de rejoindre. Soudainement j’ai la tête qui tourne, les mains moites, les jambes en coton. J’ai une envie brûlante de le rejoindre, tout en me sentant retenu, tétanisé par une peur panique de me retrouver face à un mec qui veut juste se vider les couilles pour mieux me jeter après… tout comme il l’a si bien affirmé (et si bien fait) hier… D’autre part… la tentation d’y aller est trop forte… et ce, pour plusieurs raisons… Déjà… je ne l’ai toujours pas félicité pour sa performance sportive… je vais commencer par ça… commencer par le mettre de bon poil, avant de le mettre à poil… Et puis… répondre présent à son invit… c’est aussi l’occasion de pénétrer dans un vestiaire après match… Car, mieux encore qu’après un simple entrainement tel que je l’ai connu quelques semaines plus tôt, ce sanctuaire à mecs doit être en ce moment empli d’odeurs de jeune mâle, de douche, de virilité, de deo… avec un peu de chance, Jérém ne sera pas encore passé sous la douche… il sera encore moite de sueur, sentant le mâle et l’effort… et, qui plus est, gonflé à bloc de testostérone après ses exploits et sa magnifique victoire… « 5 min »… envoyer sms… Tout comme lui, j’adopte une prose proustienne. Je fais demi-tour et je parcours les quelques centaines de mètres qui me séparent du terrain de rugby d’un pas plutôt soutenu… En approchant de mon but, je me dis que j’aimerais pouvoir lui dire aussi à quel point ses larmes m’ont touché… à quel point l’accolade avec Thibault était bouleversante… bien sûr, je suis parfaitement conscient du fait que je ne pourrais jamais le faire, car il prendrait très mal… mais ce serait tellement beau de le serrer dans mes bras et de le réchauffer… de le réconforter… Lorsque j’arrive aux abords du terrain, je remarque que sur le parking il ne reste qu’une voiture, une 205 rouge… je remarque aussi que la buvette est fermée et que plus personne ne rode autour de la pelouse… bref, tout le monde est parti, sauf mon bobrun, comme le confirme la porte d’entrée principale du vestiaire, entrebâillée… Je connais les lieux pour les avoir très agréablement fréquentés dans une autre occasion… alors, après avoir pris une bonne inspiration pour me préparer à plonger dans cet univers imprégné de présence masculine, je passe la porte en métal… Je rentre dans le petit couloir… personne à l’horizon… dès l’entrée, je suis enveloppé par ce mélange de vapeur de douche, de savon, de shampoing et de sueur… j’ai l’impression de me shooter rien qu’en respirant cet air chargé, saturé de jeunesse masculine… dans ce mélange olfactif, je me perds, je me noie… Je n’ai qu’à fermer les yeux pour imaginer toute l’équipe telle qu’elle devait être là tout juste une heure plus tôt… les uns assis sur les bancs en train de retirer les chaussures à crampons et les chaussettes avant de masser les pieds engourdis par plusieurs heures passées enfermées dans le cuir… certains ayant déjà retiré la majorité de leur équipement, se retrouvant en slip, ou en boxer… d’autres en train de se chamailler comme des gosses, refaisant le film du match dans de grands gestes, faisant rouler leurs muscles et danser leurs paquets prisonniers d’un fin tissu… d’autres enfin, seraient déjà nus, en train de se diriger vers la douche ou bien en train d’en sortir, le corps dégoulinant d’eau, attrapant leur serviette, posant un pied sur le banc pour se sécher la jambe, offrant une vue imprenable sur un joli paquet ou sur une paire de fesse musclé entrouverte par ce geste… Les sensations qui viennent à moi en rentrant dans ce lieu après ce match de finale sont en tout et pour tout conformes à ce que j’avais pu imaginer… mais en mille fois plus prenantes, puis puissantes… J’avance dans le petit couloir et là, sortant sans faire de bruit d’une porte latérale, le bogoss se dresse devant moi, à tout juste un mètre de distance, la cigarette allumée au bec, toujours habillé de son maillot vert et blanc défraichi par le match, les chaussettes et les crampons toujours aux pieds, les cheveux encore en bataille… et ce fut comme une apparition… Putain… il n’est toujours pas douché… je sens que je vais adorer… Son regard est à la fois excité, fier et amusé… son corps et sa musculature semblent encore bien chauffés par le match… je sens que si je le chauffe encore un peu, ça va être le feu d’artifice. En attendant, c’est lui qui va me chauffer un peu plus… Le bogoss finit sa cigarette, il jette son mégot à terre avec un geste désinvolte avant de l’écraser avec sa chaussure de sport… il relève ensuite le regard, il le pointe vers moi… c’est un regard intense, désormais embrasé par un sourire lubrique brûlant… Le mec avance vers moi… et lorsqu’il arrive à ma hauteur, je le vois me contourner… un instant plus tard, j’entends le bruit sonore de la serrure de la porte métallique qui se verrouille… douce musique, interlude annonçant le début des choses sérieuses… heureux d’en déduire que ce n’est pas que pour m’engueuler qu’il m’a fait venir… que le sujet Thibault n’est pas à l’ordre du jour… et qu’une bonne baise semble s’annoncer… Un instant plus tard, je le sens se placer derrière moi… ses mains se posent fermement sur mes hanches pour m’attirer contre lui avec un geste volontairement brusque, presque brutal… mon bassin recule, se colle au sien… je sens une bosse dure se plaquer contre mon jeans… je frissonne… je chavire… « C’est de ça que t’as envie, hein ? » il me siffle à l’oreille, les lèvres tellement proches que je sens sa petite barbe sexy frotter sur le pavillon et son souffle chatouiller mon tympan… petit con de petit con, va… Mon corps tout entier est parcouru de frissons… je me sens complétement en son pouvoir… il pourrait faire de moi ce qu’il veut, je ne pourrais rien lui refuser… « C’est tout ce dont j’ai envie, toujours envie… » je lui confirme, presque en état de transe. « T’as encore envie d'en prendre plein le cul… » fait-il, chaud comme la b(r)aise. « Oui… oui… » je concède, ravi. « Dis-le alors ! » ordonne-t-il en levant le ton de la voix. « J’en ai envie… » j’admets timidement. « T’as envie d’en prendre plein le cul… vas-y, dis-le ! » insiste-t-il, virulent, son souffle chaud dans mon oreille, la prise sur mes hanches se resserrant un peu plus, le contact avec sa bosse puissante se faisant plus vif… « J’ai envie d’en prendre plein le cul… » je finis par le suivre, comme une délivrance, dans laquelle je prends un plaisir certain… « T’as senti le mec en rentrant ici, c’est ça… c’est pour ça que tu bavais… » relance-t-il. « Je ne bavais pas… » je tente de me défendre, tout en espérant qu’il surenchérisse. « Si… tu bavais… t’es venu au match juste pour voir des mecs de près… » fait-il. « Je suis venu parce que je voulais te voir, toi, Jérém… » je précise. Ce qui est vrai. C’est pour Jérém que je suis venu au match… le corollaire de bogoss gravitant autour de ce match n’étant qu’accessoire à mon envie de voir mon bobrun en action… « T’as encore parlé à Thibault… » je l’entends me lancer. Ah… merde… je me disais bien que j’avais crié victoire un peu tôt… « Je l’ai juste félicité pour le match… on s’est croisés par hasard… ». « Tu le kiffes, lui aussi ? » il me balance direct à la figure. Pas simple de répondre à ce genre de question, et encore moins de le faire dans les conditions qui sont les miennes à cet instant précis… ses mains enserrant toujours fermement mes hanches, sa bosse contre mes fesses, la chaleur de son torse irradiant mon dos, sa voix posée et autoritaire faisant vibrer en moi mille et une cordes sensibles, son souffle chaud dans mon oreille, sur ma joue, dans mon cou… « Arrête, Jérém… » je tente de me défendre… Mais, les bières aidant, la langue du bogoss est en mode « taper là où ça fait mal » : « Il est bien foutu, hein… il est bogoss… avoue… tu te ferais bien défoncer par lui aussi… ». « Tu dis n’importe quoi, Jérém… c’est de toi que j’ai envie… » je tente de calmer le jeu. Je ne vois pas où le bogoss veut en venir mais je devine que ça peut vite déraper… « C’est ça, comme l’autre connard au KL, l’autre fois… » il me sort de but en blanc. Ouf… heureux qu’on s’éloigne du sujet Thibault… Cependant, on est en train de partir sur un autre sujet épineux… le ton de sa voix monte… le bogoss semble commencer à partir dans les tours… vite calmer le jeu… « Lui c’était juste un plan B parce que je croyais que tu partirais encore avec une pouffe… si j’avais su que tu rentrerais avec moi, jamais ne je me serais laissé draguer par ce mec… c’est toi, Jérém, qui me rends dingue… dès que je te vois, j’ai envie de toi, tellement envie que j’en ai mal au ventre… c’est même pire que ça… il me suffit de penser à toi que j'ai envie de te faire jouir… ». « Parce que je suis un bon coup et que je te baise comme personne, dis-le ! » il m’intime. Petit con… et moi alors… je ne te baise pas « comme personne d’autre » ? Je t’en foutrais… J’ai envie de profiter de sa boutade pour lui renvoyer le même jeu… Je me dégage alors de sa prise, je me retourne… et, en le regardant tout droit dans les yeux, je lui balance : « Je vais le dire si toi aussi tu admets que moi aussi je te fais jouir comme t’as jamais joui ! ». « Mais qu’est-ce que tu en sais ? » se moque-t-il en scandant bien les mots, le ton moqueur et un tantinet méprisant, un beau sourire sexy et insaisissable aux lèvres. Il avance à nouveau vers moi, il me contourne… cette fois-ci, je suis son mouvement en pivotant sur moi-même… je le vois disparaître dans le saint des saints… le vestiaire… Lorsque je pénètre dans la grande salle, c’est une vibrante sensation de tranche de vie très récente qui me percute… les placards des joueurs, disposés en « U » sur trois murs, ont été pour la plupart abandonnés avec la porte négligemment ouverte… le sol, encore humide, est jonché de petits papiers, de serviettes… une chaussette verte traîne sous un banc… un maillot blanc et vert a même été laissé dans la précipitation… l’odeur de douche de bogoss est omniprésente, comme une force, une énergie invisible mais parfaitement perceptible… en cette fin d’après-midi, cette pièce résonne encore de la présence de jeunes gens heureux… Au milieu de ce bazar parfaitement harmonieux pour mes sens, deux bancs sans dossier trônent alignés à environ trois mètres l’un de l’autre… Mon beau brun est là, installé à califourchon sur l’un d’entre eux, en train de boire à une gourde qu’il a dû tirer de son sac de sport. Je m’assois à mon tour à califourchon sur l’autre banc, face à lui. Et j’enchaîne : « Si je n’étais qu’un coup comme tant d’autres, tu ne m’aurais pas baisé autant… et tu n’en redemanderais pas… ». « Je te l’ai dit, t’as une bonne bouche et un bon cul et t’es toujours dispo, trente jours par mois… c’est tout ce qui compte… » lâche-t-il sur un ton railleur assorti d’un petit sourire méprisant. Ce petit con ne lâche rien… je tente un coup de poker… « Il y en a d’autres des culs et des bouches… mais les miens te font ce que les autres ne te font pas…». Je suis étonné de l’aisance avec laquelle j’arrive à lui balancer mes quatre vérités en le regardant droit dans les yeux… ça doit être l’effet de la bière… mais putain qu’est-ce qu’il est sexy avec son maillot… Il me toise en silence, j’en profite alors pour enfoncer le clou : « Tu as une queue de fou, mais moi je sais la rendre heureuse… ». « T’es culotté, mec ! » me lance-t-il. « Tu peux parler de culot ! » j’arrive à lui balancer « t’y as été fort, hier… et là tu me branches comme si de rien n’était… ». « Ça va, j’étais énervé, j’étais inquiet pour le match… et ça m’a fait chier que Thib me fasse des réflexions… » fait-il, un max détendu. « Je ne suis pas ton punching ball... » je réagis. Il me fixe, son sourire diabolique toujours aux lèvres… et là je le vois se lever, avancer vers moi, enjamber le banc où je suis assis, se pencher en avant, vers moi, en prenant appui sur ses mains posées à plat juste devant lui… Instinctivement, en voyant ce corps musclé envahir brusquement mon espace vital, j’ai un mouvement instinctif de recul… Le bogoss me toise de très près, en silence… Il me fixe, son sourire diabolique toujours aux lèvres… et là je le vois se lever, avancer vers moi, enjamber le banc où je suis assis, se pencher en avant, vers moi, en prenant appui sur ses mains posées à plat juste devant lui… Instinctivement, en voyant ce corps musclé envahir brusquement mon espace vital, j’ai un mouvement instinctif de recul… Le bogoss me toise de très près, en silence… « Tu sais… je… je… » je bégaie, tentant désespérément de garder mon cap, ma volonté perturbée par sa proximité soudaine. J’ai le cœur qui cogne à tout rompre… mais mes émotions sont loin d’être terminées… le bogoss avance encore son fessier sur le banc, jusqu’à ce que ses genoux entrent en contact avec les miens… ce simple contact de peau chaude est divin… Ma volonté n’est pas seulement perturbée, elle est carrément déglinguée… je tente tant bien que mal d’arriver au fond de ma phrase : « Je… je… peux… tout… tout… comprendre… si… ». Il est assis face de moi, le torse enserré dans son maillot blanc et vert qui sent clairement la transpi… il me sourit, c’est le sourire du prédateur qui mesure son pouvoir sur sa proie… et c’est beau à tomber… « … si… si… si on… m’explique… calme… » je tente de terminer mon propos, alors que mon libre arbitre vient de fondre comme neige au soleil… Puis, ne trouvant peut-être pas suffisant l’effet de dingue que sa proximité exerce sur moi, le bogoss décide de faire monter la pression jusqu’au-delà de la zone rouge… Je le vois plier le buste vers l’avant, jusqu'à ce que nos fronts se touchent, ses mains fermement posées derrière ma tête pour m’empêcher de reculer… contact détonnant, évoquant d’autres situations ou ses mains retiennent ma tête pour son plaisir de mec… étincelles sur ma peau, dans ma tête, décharges puissantes dans mon ventre… sentir son front chaud sur mon front, sentir une intense chaleur chargée de bonnes odeurs de mecs monter à mes narines… baisser les yeux et, délicieuse surprise, arriver à plonger le regard dans l’entrebâillement du col du maillot enduit par la position de son buste légèrement penché vers l’avant, me perdre dans la vision inattendue et spectaculaire de ses pecs… Je suis tellement dingue que j’en veux encore plus… je suis comme ivre, et débridé… je porte ma main à la naissance du col en V de son maillot, j’attrape le tissu, je l’écarte un peu plus et je plonge mon nez dedans… j’inspire avidement, bruyamment… je m’enivre de cette chaude essence de mec dont j’ai été privé la veille, lorsque le bogoss a déboutonné d’un seul geste sa jolie petite chemise blanche de service… Le feu du désir me ravage de l’intérieur… je suis tellement hors de moi que je trouve même l’audace de porter une main sur sa bosse cachée sous le short… A ce stade, je ne suis plus que désir brulant… voilà comment ma volonté commence à se fendiller devant un sourire, subit des dégâts considérables à cause de la proximité physique et olfactive d’un beau mec… et elle se désintègre carrément au contact de son sexe bien tendu… Presque au même temps, je sens ses mains relâcher la prise sur ma nuque… la séquence est bien rythmée… son buste recule, se genoux se déplient… un instant plus tard le bogoss est debout, toujours une jambe de chaque côté du banc… ses mains se coordonnent pour baisser le short et le boxer juste en dessous de ses bourses… sa queue apparaît devant mes yeux… son bassin avance, son gland de pose entre mes lèvres… ouvre-toi Sésame… elle s’enfourche vite dans ma bouche… Ses coups de reins arrivent directs, puissants… ça commence fort… oui, il est d’humeur joyeuse… mais il est aussi d’humeur « jouieuse »… le mec est bien dans ses baskets et il se lâche, il a grave envie de prendre son pied… je le sens chaud comme une baraque à frites… Et, cerise sur le gâteau, mes papilles m’apportent une sensation un peu particulière… c’est un goût, un parfum aussi spécial que rare chez mon bobrun… c’est le gout de sa mouille… une mouille qui a mon avis a dû commencer à suinter bien avant mon arrivée, lors des émotions fortes de ce match… c’est fait comme ça un garçon… parfois il est tout sec alors qu’on le suce comme des malades… et il lui suffit de marquer un but pour décorer son boxer d’une petite trace odrorante… Ses va et vient sont réguliers, profonds, le bord du maillot tape sur mon visage de façon cadencée… il faut vraiment que je lui offre ce maillot londonien bien taillé qui doit mieux rendre justice à sa plastique que ce maillot un peu trop grand pour lui… J’imagine le bonheur de le sucer dans cette tenue… pourtant, je ne sais toujours pas quand est-ce que je vais pouvoir lui donner… tiens, je pourrais lui offrir comme cadeau pour sa victoire, profitant de son humeur joyeuse… Oui, mais quand ? Il faudrait que je l’aie là, avec moi… mince… enfin… on va dire que pour l’instant j’ai plus urgent à faire… Je reçois et j’accepte goulûment ses assauts de mec, je me réjouis de sa fougue… ça fait du bien de le sentir déchaîné, la tête dégagée des soucis immédiats, 100% à son plaisir de mec tout comme, encore un peu plus d’une heure plus tôt, il était 100% à son jeu… Et puis ses coups de reins s’arrêtent. Le bogoss remonte boxer et short et se remet en position assise. Son bassin avance toujours, ses genoux poussent les miens, m’obligeant à reculer jusqu’au bord du banc… Le bogoss se débarrasse de son t-shirt avec un geste aussi rapide que l’éclair et intensément érotique… je remarque que le bandage à l’épaule a disparu, laissant ainsi entrevoir un énorme bleu couvrant la totalité de l’arrondi au-dessus de son biceps… Jérém s’allonge ensuite sur le dos, sur toute la longueur du banc, les bras pliés et les mains croisées derrière sa tête, toujours à califourchon, le bassin légèrement cambré… et putain que son paquet est remarquable dans cette position, sous son short blanc… Je comprends très vite le signal… une seconde plus tard, je me penche sur son short et, tout en dégageant le tissu par petites touches, je me fais plaisir en respirant ses phéromones… Le mec a mouillé le maillot… ça, c’était à la vue de tous… ce qui était moins connu, c’est que son boxer aussi en a pris une sacré claque… lorsque j’y plonge le nez dedans, je retrouve un bonheur intense… à l’intérieur du tissu élastique, ça sent bon, ça sent fort, c’est moite… ça sent la transpi, mais la transpi bien particulière qui suinte autour de la queue et des couilles… et, surprise réjouissante… une petite trace de mouille se dessine à l’avant du boxer… Lorsque je dégage le dernier pli de tissu retenant sa queue raide, son manche tendu m’échappe d’entre les doigts et, comme attirée par un ressort invisible, elle vient claquer lourdement sur ses abdos… Je la regarde, ainsi couchée, se soulevant régulièrement suivant les contractions musculaires du bogoss… elle est magnifique… j’adore la regarder, retarder le moment d’aller la rendre heureuse… mes yeux réclament leur part et je me fais violence pour ne pas céder aux réclamations de ma bouche impatiente… Ses bourses bien remplies, doucement abandonnées entre ses jambes légèrement écartées, me donnent envie d’un petit détour… je pose mes lèvres dans le creux entre les couilles et la naissance de la queue… je commence par y déposer des bisous tout doux… j’enchaîne en laissant ma langue tourner délicatement autour de ses couilles… je m’y attarde un petit moment, avant de remonter vers la base de sa tige tendue… Ma langue avance désormais le long de son manche… elle arrive dans le creux du gland… motivée par le goût un peu salé de sa mouille de mec, ainsi que par un léger arrière-goût chaud de transpi et d’urine, ma langue redouble d’efforts pour lui faire plaisir… elle s’agite, le titille par de petits mouvements répétés… le bogoss frissonne… Un instant plus tard, son gland se retrouve enserré dans ma bouche, mes lèvres s’avançant jusqu’à rencontrer ses poils pubiens… Et alors que ce liquide si rare et précieux suinte sans discontinuer, j’entreprends de lui offrir une pipe musclée, alternant les gorges profondes et les caresses délicates sur le gland… Avec le coin de l’œil, j’arrive à suivre les mouvement involontaires et désordonnés de ses bras, comme le reflet des vagues de plaisir incontrôlable que ma bouche lui apporte… petit con, va… tu ne veux pas l’admettre que je t’offre un plaisir de dingue… mais tu sais quoi… ton beau corps te trahis… je n’ai pas besoin de tes mots… tes spasmes, tes petits gémissements, les ondulations de tes abdos, ta respiration saccadée, voilà la réponse à ma question… C’est en dessous de sa ceinture que je m’affaire… mais c’est en dessus que l’excitation se fait le plus démonstrative… ses bras n’arrêtent pas de gigoter, divaguent dans tous les sens… ils s’allongent vers l’arrière, ils se plient, les mains se croisent sur sa tête… elles repartent aussitôt, portées par des bras qui ne tiennent pas en place… elles s’agrippent à la planche à hauteur de ses oreilles… un instant plus tard, les bras se déplient à nouveau… ses biceps se contractent, ses poings se ferment… on dirait des gestes de bébé enchanté pas son accroche jouets… alors que ce sont les mouvements inconscients et incontrôlés d’un beau mec en train de prendre son pied au-delà du raisonnable… Son bassin, son dos, son cou, sa tête, ondulent sur la planche… le bogoss relève la tête de temps à autre, il me regarde faire un instant, le visage défait par les décharges de plaisir que ma bouche lui apporte… lorsqu’il repose la tête sur le banc, elle se rabat en arrière, la bouche s’ouvre à la recherche d’air… C’est là que je me dis… oui, Nico, là tu as dans tes mains la clef de son plaisir… Qu’est-ce que c’est bon de pénétrer dans ce vestiaire… encore meilleur que d’y pénétrer après l’entrainement, y pénétrer après un match, un match dur, mais gagné… Et qu’est-ce que c’est bon de le sucer dans ce sanctuaire à mecs… encore meilleur que le sucer après l’entrainement, le sucer après un match, un match dur, mais gagné… Il faut que je marque le coup, que je dépasse ses meilleures attentes… alors, tout en continuant à le sucer activement, ma main se porte sur son torse, à hauteur de ses abdos… elle remonte tout doucement vers ses pecs, je les caresse avec la paume de ma main, l’un après l’autre… le bogoss cambre les reins, bombe le torse… Ainsi encouragé, ce sont alors mes deux mains qui se posent sur ses pecs, qui envoient leurs doigts respectifs titiller ses beaux boutons rose marron… le plaisir ressenti par le bobrun est tellement intense qu’il ne sait plus comment se mettre… Il est dingue… je veux lui faire péter un plomb… je veux le rendre si fou de plaisir au point qu’il ne sache même plus où il habite… j’ai une arme secrète pour cela… Je me fais violence pour obliger ma bouche à quitter sa queue… je la motive en la chargeant d’une mission tout aussi excitante… pour assurer la transition, ma main prend immédiatement sa place, enserrant son manche et en le branlant avec des mouvements amples… Mon buste se penche sur le sien pour permettre à mes lèvres et à ma langue de partir à l’assaut de ses tétons… ma joue appuyée juste au-dessus de son cœur, je capte ses battements rapides mélangée à sa respiration courte, agitée, excitée… Comment lui faire encore plus plaisir ? Je sais… c’est simple… obliger ma langue à abandonner la douce fermeté de ses tétons pour descendre, descendre, descendre tout au long de son torse, passer ses abdos, son nombril en m’y attardant tout juste le temps d’un passage de langue… passer son pubis, en résistant à la tentation ultime de s’arrêter pour humer les bonnes odeurs que cette petite pilosité sait cacher… passer à côté de sa queue, sans me laisser aller à l’appétit vorace qui me pousserait à gouter encore au petit nectar exquis qui continue de suinter dans son creux… à la reprendre en bouche, jusqu’à la faire jouir… Descendre encore un peu plus… passer ses bourses sans être hypnotisé par leur chaleur, leur douceur odorante… descendre un peu plus encore, et terminer son voyage un peu plus loin dans l’entrejambe… voilà comment lui faire plaisir… Ma main continue de le branler tout doucement, mon pouce lubrifié par sa mouille tentant de remplacer le pouvoir magique de ma langue au creux de son gland… Et lorsque ma langue se faufile jusqu’à son ti trou et qu’elle essaie aussitôt d’en forcer l’entrée, le bogoss tressaillit… « Putain… » je l’entends exclamer violemment « ça c’est bon… vas-y… vas-y comme ça, mec… ». Je continue de faire tournoyer le bout de ma langue autour de sa rondelle… le bogoss se tait… j’écoute sa respiration, qui est comme suspendue… les mouvements de son diaphragme se font de plus lents, plus amples… j’ai l’impression que tout son corps est agité par un petit frissonnement involontaire… on dirait… oui… on dirait qu’il ronronne… Le bogoss est actif à 200%... mais qu’est-ce qu’il aime se faire tapoter l’entrée des artistes… Petit jeu intense, dans lequel je perds toute notion du temps… je ne pourrais pas dire pendant combien de temps je me suis fait plaisir tout en lui faisant plaisir de cette façon… tout ce que je sais, c’est que ce truc est l’un de ceux qui le rendent le plus dingue… alors, je ne vais pas m’en priver… je pourrais continuer pendant des heures… Dans les faits, je ne peux continuer que jusqu’à ce que le bogoss décide qu’il est « temps » de passer à autre chose… et le « temps » c’est lorsque le bogoss relève son buste, provoquant le même geste chez moi… il recule ensuite son fessier sur le banc, m’attrape par les hanches, tire mon bassin vers le sien le faisant glisser sur la planche… il relève mes jambes, m’obligeant à poser mon dos sur le banc… Les gestes du bobrun sont rapides, presque violents, des gestes qui me font sentir complètement en son pouvoir, comme si je lui appartenais, comme si je n’avais pas le choix… mes jambes en l’air, le bogoss entreprend de me déshabiller… en quelques secondes, mes chaussures (sans même prendre le temps de défaire les lacets), mon short, mon boxer ont volé… je seconde ses intentions en me chargeant de mon t-shirt… Me voilà complétement nu devant lui… à sa complète disposition… je le vois se lever et se débarrasser à son tour de ses baskets (toujours dans la précipitation, sans prendre le temps de défaire les lacets), de son short et de son boxer… complètement nu lui aussi, le sexe tendu pointant le zénith, une jambe de chaque côté du banc… l’air triomphant, le mec me domine de tout son mètre 80… et de toute sa puissance masculine… Il va me prendre comme ça, direct… il va cracher dans sa main, enduire sa queue, en mettre un peu entre mes jambes, il va venir en moi, me défoncer et me remplir… que de bonnes choses en vue… Mais il ne faut pas présager des intentions de mon bobrun, si irrésistiblement imprévisible… Un instant plus tard, il plie ses genoux et se retrouve à nouveau assis à califourchon sur le banc… et là, il relève mes jambes jusqu’à les porter sur ses épaules, relevant ainsi mon bassin… ses mains se portent sur mes fesses, les enserrent fermement, les écartent… son visage approche de mon entrejambe… je l’entends cracher sur ma rondelle… je sens son doigt s’insinuer en moi, rentrer petit à petit, et ressortir aussitôt pour se faire lubrifier à nouveau… ce doigt qui revient à la charge, qui rentre et qui ressort, s’enfonçant à chaque fois un peu plus profondément, provoquant en moi une montée de frissons certaine… Le bogoss insiste, et ça devient de plus en plus bon… à un moment je remonte le cou pour le voir faire… et là je croise son regard… le mec me mate carrément en train de jouir du cul… j’adore le voir faire… savoir qu’il me mate pendant que je prends mon pied… Mais apparemment mon regard n’est pas à son goût… son autre main se porte sur mon menton, lui insufflant un mouvement de basculement vers l’arrière, façon bien à lui de me dire qu’il souhaite que je m’allonge complétement sur le banc… C’est là qui se produit l’impensable… dès que ma tête touche la planche en bois… dès que son visage disparaît à nouveau derrière mon bassin suspendu, je sens une sensation de chaleur juste en dessous de mes couilles… Je commence à perdre pied lorsque je réalise qu’il s’agit de son souffle… je perds le contact avec la réalité lorsque je sens ses mains écarter à nouveau mes fesses pendant que le souffle chaud se déplace le long de ma raie jusqu’à se stabiliser à l’aplomb de mon ti trou… mais je change carrément de dimension lorsque je réalise que sa langue, celle qui refuse de rentrer en contact avec la mienne, est en train de caresser timidement les bords de ma propre rondelle… Ah, putain… celle-là, vraiment, je ne l’avais pas vue venir… D’abord hésitant, puis, très rapidement, de plus en plus entreprenant, le bogoss est en train de me rendre la pareille de ce que je viens de lui faire… je ne sais pas s’il prend autant de plaisir que moi en le faisant… ce qui est certain, en revanche, c’est que ce truc me fait un effet de dingue… le même effet que ça doit lui faire à lui… je comprends mieux pourquoi il aime tant cette petite diversion… C’est la première fois qu’on me fait ça… il faut dire que si l’idée de le faire à mon bobrun m’a tenté très tôt, celle de le recevoir ne m’a jamais vraiment titillé l’esprit, en premier lieu parce que jamais je n’aurais imaginé qu’il puisse envisager cela, et surtout dans ce sens… J’avais tort… sa langue puissante et souple me titille, me secoue, me chauffe… et c’est rudement bon… bon à en pleurer… tellement bon que ça en devient rageant lorsque ça s’arrête… non, pas déjà… Bah, si… lorsque mon bobrun a décidé que ça s’arrête, eh ben… ça s’arrête… je le vois relever la tête, dégager mes jambes de ses épaules, décoller son bassin du banc et se remettre débout… je sens ses main chaudes et directives sur mon corps, je me laisse faire, je tente de deviner ses intentions… Je comprends très vite que son souhait c’est de me mettre à plat ventre sur le banc… il ne me reste qu’à m’incliner devant la manifestation de ses envies… Je me retrouve plaqué sur le banc, le visage pile au bord… je tourne mon visage, je pose ma joue sur la planche… je me prépare à le recevoir en moi… voilà, le moment est arrivé… après m’avoir bien chauffé, il va prendre ce qui lui appartient… Oui… mais non… je frissonne lorsque je me rends compte que ce n’est pas son gland qui se presse à l’entrée de mon ti trou, mais à nouveau sa langue déchainée… elle s’y attarde pendant un petit moment, gourmande, insatiable… Puis elle décolle…elle délaisse ma rondelle pour remonter tout lentement le long de ma colonne vertébrale jusqu’à mon cou… c’est un mélange de plaisir et de petits picotements, de frissons et de petites chatouilles qui parcourt mon dos et qui s’irradie dans tout mon corps… en un mot, c’est divin… Je ferme les yeux pour mieux apprécier la caresse de cette langue, me demandant jusqu’où elle va aller… je sens le passage lent et humide arriver entre mes omoplates… mes sensations en sont alors démultipliées… je perds le contrôle… je savoure ce moment de lévitation de mon esprit, tout en profitant également de la chaleur de ses mains qui prennent appui et se déplacent sur mon dos, sur mes flancs, sur mes épaules pour supporter la logistique du merveilleux voyage de sa langue le long de ma colonne… Et lorsque sa langue commence à remonter mon cou jusqu’à effleurer la région sacrée de la base de ma nuque… là j’ai l’impression que toute ma peau est en train de s’embraser… C’est à ce moment-là qu’une nouvelle puissante sensation vient à moi… alors que mon corps est tout concentré sur le plaisir sensuel de ce contact à la base de ma nuque, mon bobrun vient en moi… son gland s’insinue lentement, il glisse tout doucement, jusqu’à ce que ses couilles se posent contre mes fesses… Il est en moi… bien profondément en moi… je suis à lui, mon cul est à lui, à sa libre et complète disposition… j’ai l’impression que mon corps tout entier est parcouru par des décharges électriques, que chaque sensation est découplée… mon ti trou est ultra-sensible… je suis très réceptif, ainsi chauffé par sa langue… Je sens ses mains puissantes prendre fermement appui sur mes épaules… et lorsqu’il commence à limer mon petit puit de bonheur, c’est avec des foulées amples et lentes qu’il démarre le bal… Le bogoss me baise lentement, mais puissamment … la lenteur de ses glissements alternés fait que je sens particulièrement bien le passage de son engin en moi, que j’en apprécie toute la force, tout le gabarit… je sens chaque centimètre coulisser en moi… me voilà partagé entre avoir envie que ça se déchaine et que ça devienne plus brutal… et le bonheur de ce slow sexuel qui me permet d’apprécier des sensations et des nuances de sodomie encore jamais expérimentées… Quel petit con, ce Jérém… mais que petit con sacrement doué pour la baise… De temps à autre, il s’arrête au plus profond de moi … et là, pendant un court instant, avant qu’il ne réenclenche la marche arrière, ses mains prennent appui tour à tour sur mes hanches ou sur mes épaules, et je me sens vraiment dominé pas sa queue puissante… je me sens bien baisé… comme j’aime, comme je le mérite… je suis le mouvement comme en état d’hypnose… Et lorsqu’il commence à se déchaîner, lorsque ses cuisses tapent contre mes fesses en provoquant des claquements sonores et sourds à la fois… lorsque ses couilles bien pleines et bien chaudes frappent lourdement contre mon entrejambe et parfois contre mes propres couilles… je chauffe tellement que j'en tremble… je perds le contrôle, je ne sais plus où j'habite… et je me laisse aller… j’ai envie de crier… je n’arrive plus à me contenir, à me contrôler… le plaisir, l’excitation, le profond bonheur de me sentir à lui… le mélange de sensation que ce petit con sait m’offrir est si puissant que des gémissements s’échappent de ma bouche… dans le feu de l’action, je crois que je deviens très bruyant… Au point qu’une de ses mains finit par quitter mon épaule et se poser sur ma bouche pour me contrôler… geste qui a le pouvoir non pas de me calmer, bien au contraire, mais en tout cas de me faire comprendre qu’il faut que je la mette en sourdine… Le bogoss se déchaîne… c’est trop bon l'avoir en moi… j’ai trop envie de lui faire savoir… « Baise-moi, Jérém, baise moi autant que tu veux… tu es trop doué pour ça… c’est un truc de fou… ». J’ai envie qu’il me balance de bons gros mots crus, qu’il me fasse sentir bien soumis, bien à lui, sa femelle… hier après-midi, ce petit jeu m’a bien chauffé… et j’ai bien senti que lu aussi ça le chauffe à bloc… alors, pourquoi se priver de ce bonheur partagé ? Je viens tout juste de terminer ma phrase que le bobrun ralentit ses coups… je sens sa queue changer d’angle d’entrée, tout en continuant à me limer… je sens la peau de son torse se poser sur celle de mon dos, le poids de son corps écrasant le mien, son souffle chaud et haletant caressant ma nuque… Et là, je l’entends chuchoter tout près de mon oreille : « Je te baise bien, hein ? ». Ça y est… le bogoss a mordu à l’hameçon… je sens qu’on va s’amuser à ce petit jeu qui s’amorce… alors, allons-y… je vais te chauffer à bloc mon petit… « Il te plaît bien mon cul… il est bien calibré pour ta queue… je suis ta pute… ». L’excitation me rend dingue… je sais que certains de mes mots me feraient rougis de honte à froid… je sais que je vais regretter mon excès de soumission à lui… mais là je suis trop chaud et aucun mot me semble trop grossier pour chauffer mon bobrun… « T’avais envie de gouter à ma queue, c’est pour ça que t’es venu… » « Jérém… tu es mon m… [Nico, évite le mot « mec », ça pourrait être mal pris…]… Jérém… tu es mon… m…âle… ». « Oui, et toi une petite salope qui me vide les couilles ». « Putain, qu’est-ce qu’elle est bonne ta queue… ». « Ça te plait quand elle te démonte le cul… » fait-il en mettant quelques coups de bassin très puissants, violents. « Tu es tellement puissant… tu es un véritable étalon… ». « Ta seule et unique envie c’est de te faire démonter le fion… ». « Oui, par toi… vas-y… démonte-moi ! ». « Je vais tellement te défoncer que tu ne vas plus pouvoir t’asseoir… ». « C’est tout ce que je veux… te sentir en moi longtemps après que t’aies joui en moi… ah, c’est bon… putain que c’est bon… tu me fais jouir comme jamais tu m’as fait jouir… ». Sa fougue est impressionnante… est ce que c’est l’effet dopant, la drogue puissante de la victoire qui le met dans cet état d’éphorie sexuelle ? Ou bien mes mots, mon attitude déchainées ? En tout cas, son entrain est un pur bonheur pour moi… « Tu prends ton pied, mec ? » j’ai envie de lui demander. « T’inquiète pour mon pied… ». « Il bon mon cul, n’est pas ? » je relance. « Il est toujours chaud comme la braise… ». « Toi aussi t’es chaud comme la braise… et t’es surtout chaud pour la baise… c’est pour ça que mon cul est si offert… il est tout pour toi… ». « Profite bien du voyage, ça ne va pas durer… ». « Tu aimes me baiser parce que j’ai une bonne bouche et un bon cul… ». « C’est ça… ». « Parce que tu peux me faire tout ce que tu as envie… parce que tu prends ton pied avec moi comme avec personne d’autre… ». « Je t’ai dit de pas t’inquiéter pour mon pied… je suis un mec… dès que ma queue est bien enserrée et au chaud, je prends mon pied… ». Petit con, va… tu vas voir… on va voir si mon cul est si banal… « Tu vas bientôt jouir ? » je me renseigne. « Je vais bientôt te farcir, oui… t’en as envie, hein ? T’attends que ça, te faire remplir… » fait-t-il, la voix de plus en plus méconnaissable, altérée par l’effort et l’excitation. « Oui… mais pas encore… ». Et, ce disant, profitant du fait que le bogoss a un peu relevé son torse et qu’il ne me retient plus que par les hanches, je me dégage de lui… j’ai envie de prendre les choses en main… je sais que mon geste est absolument fou, car, ne voyant pas son visage, il m’est impossible d’estimer à quelle distance le bogoss se trouve de son orgasme… le risque d’une jouissance ratée est réel, acte impardonnable à l’égard d’un si beau garçon, d’un si bon champion et d’un si bon coup… Je viens de me déboiter de lui mais je le sens encore en moi, mon trou béant, mon envie incandescente criant un manque violent… Je me retourne et je le regarde, désormais assis à cheval sur le banc, le torse incliné vers l’arrière, les bras eux aussi tendus vers l’arrière, les mains prenant appui d’une part et d’autre de la planche… toutes tablettes dehors, tout le corps brillant d’une fine couche de transpiration, la respiration rapide, la queue raide, humide, le visage et le haut du torse rougis sous l’effort, le regard chaud, noir… mais putain qu’est-ce qu’il pue le sexe ce petit con… Si c’était un tableau… il faudrait appeler ça… « La testostérone »… Moment de pure poésie, poésie à laquelle le bobrun, sans se démonter, ne tarde pas à porter sa savante contribution : « Ramène ton cul, dépêche-toi ! ». Je trouve sa réplique à la fois d’un érotisme sans nom et étrangement amusante. Un petit macho pareil, ça ne s’invente pas… un petit macho capable de verser des larmes sur un terrain de rugby après une victoire et une heure plus tard me baiser avec cette puissance et cette arrogance… je crois que je tiens là un spécimen vraiment unique… J’en meurs d’envie de ramener mon cul, bien évidemment… mais pas tout de suite… je soutiens son regard, de plus en plus noir, de plus en plus sauvagement viril… je laisse passer quelques secondes… J’approche alors lentement pour aller m’asseoir à califourchon sur le banc, en face de lui… Dès mes fesses posées sur le banc, je le vois allonger les bras, porter ses mains vers mon bassin, sans doute dans l’intention de me prendre comme ça, par devant et de lâcher très vite son petit jus chaud bien au fond de moi… perspective, j’admets, plus que tentante… j’adore lorsqu’il est si entreprenant, lorsque l’approche du plaisir précipite ses gestes et fait ressortir ses instincts de mâle en rut… Pourtant j’ai autre chose en tête et j’ai décidé que ce coup-ci c’est moi qui fixe les règles… Mes bras s’animent, interceptent les siens et bloquent leur avancée… je le fixe tout droit dans les yeux et je vois un mélange de surprise, d’agacement et de frustration balayer son regard brun… « A quoi tu joues ? » je l’entends aboyer dans la foulée, tout en commençant à gonfler les muscles de ses épaules et de ses biceps pour se dégager… Vite… vite… il faut un truc pour le calmer… je lâche son bras droit, je libère ma main gauche par la même occasion pour lui confier la délicate mission de se poser en urgence sur sa queue, commencer à le branler assez plaisamment pour détourner l’attention du bobrun et me faire gagner un peu de temps… Ma gauche réussit sa mission… haut la main… enfin… bas la main… bref… elle réussit à merveille… ce simple contact a le pouvoir de faire cesser illico toute tentative de se dégager… ses bras se baissent aussitôt, ramenant ses mains prendre appui sur les bords de la planche… Je le vois fermer les yeux, mordiller sa lèvre inférieure… c’est un spectacle divin… Le fauve calmé, je me sens l’audace de poser mon autre main sur ses pecs (ah, putain, qu’est-ce que c’est bon le contact avec le torse d’un bogoss avec quelques poils… même si ça commence juste à repousser et que ça pique plus que ça ne caresse)… et là, il me suffit d’une très légère pression pour que le torse du bogoss accepte de suive le mouvement… Un instant plus tard, son dos et sa tête sont posés sur le banc… alors que ses jambes sont toujours posées de part et d’autre du banc, les pieds bien par terre… même position que tout à l’heure, pendant la pipe… Je me lève, j’avance lentement jusqu'à ce que mes jambes dépassent les siennes, tout en s’y frottant au passage de façon plutôt appuyée… le bogoss me regarde faire, le regard interrogatif… Mon fessier est désormais à l’aplomb de son bassin, de sa queue… le bogoss ouvre un peu la bouche, ses paupières tombent lentement mais lourdement, il expire bruyamment l’air de ses poumons… je crois bien que mes intentions sont dévoilées… et qu’elles sont bien accueillies… Et j’en ai la certitude lorsque le bobrun, en me devançant tout juste d’une fraction de seconde, saisit sa queue et la met bien à la verticale, son gland effleurant mon entrejambe… Je ne tarde pas plus… je plie mes genoux… j’ajuste l’alignement entre mon ti trou et son gland en me basant uniquement sur des sensations tactiles… et une seconde plus tard je m’empale sur lui… Je reste un petit moment assis à califourchon sur mon bel étalon, mes mains s’activant sur ses pecs rebondis, sur ses tétons durs et doux à la fois… qu’est-ce que je t’aime, mon Jérém… Je prends appui sur mes pieds et en jouant avec mes genoux et mes cuisses, je commence à monter et descendre autour de sa queue… Le bogoss a l’air d’apprécier, d’autant plus que c’est moi désormais qui assume tout l’effort de son plaisir… le mec n’a rien à faire… juste savourer son plaisir de mec sans le moindre effort… c’est moi qui lui offre mon cul, que je m’active pour le bonheur de sa queue… c’est moi qui fait tout… c’est moi qui contrôle la baise, qui contrôle son plaisir… Son rôle à lui, c’est celui d’un mec actif… mais qui s’active vraiment dans l’histoire ? Son rôle à lui, c’est prendre son pied… mais est ce que ce plaisir il le prend vraiment comme un voleur… ou bien il le prend… parce que c’est moi qui lui donne ? Dans ce cas, il accepte bien d’être soumis à mes talents… Qui domine l’autre à cet instant précis ? Le fauve, serait-il dompté grâce au réflexe pavlovien associé à son propre plaisir ? J’ai envie de tout tenter… de tout oser… je déplie entièrement mes jambes, je relève mon bassin, coupant presque le contact avec son puissant engin… je sens tout juste son gland encore effleurer mon entrée de bonheur… je fais le malin, mais elle me manque déjà… la sentir si proche de moi et pas en moi est une véritable torture… je me fais violence, mais j’arrive à tenir… Et à aller même encore un peu plus loin dans ma mutinerie… je remonte un peu plus mon bassin et sa queue se dégage de mon entrejambe en claquant une fois de plus lourdement sur ses abdos… Soudainement, je ressens une envie puissante de le reprendre en bouche… c’est ce que je fais, en pompant avidement son braquemart sur quelques va e vient plutôt musclés… Quelques instant plus tard, mon bassin se repositionne pour caler sa queue dans ma raie… j’entreprends alors des va et vient avec mes reins, des frottements répétés, des frottements destinés à stimuler et à agacer son gland… Le bogoss a l’air de sacrement aimer ça… un mélange de frustration de ne pas être déjà en train de jouir au fond de moi, et d’envie de s’abandonner à ce plaisir inattendu… On ne peut pas trop faire attendre un mec lorsque son excitation s’envole, sous peine de le voir s’impatienter et partir dans les tours… ou bien partir tout court… Je le regarde dans les yeux… le bobrun est en train de bouillir… je le vois lever les bras, porter ses mains sur mes fesses, amorcer le mouvement pour à la fois relever et faire reculer mon bassin, en vue d’une pénétration qui lui parait nécessaire sur le chemin d’une jouissance que son corps commence à réclamer de toutes ses fibres… « Shhhhh… laisse-moi faire… » je lâche tout doucement, sur le même ton avec lequel on tenterait de calmer un caprice de gosse. « Dépêche-toi de me faire jouir ! » ce sera sa sommation. Bingo. C’est moi qui le fais jouir. C’est moi qui a la clef de son plaisir… j’avoue que ça fait bizarre de penser à ma cousine dans cette situation… et pourtant… ses mots sont prophétiques… Je recule le bassin de mon gré, m’amusant à titiller son gland coincé entre mes fesses mais pas encore admis à venir dans mon puit de plaisir… mon attitude commence sérieusement à agacer le bogoss… j’adore… j’en profite pour enfoncer un peu plus le clou (verbalement parlant, ça va de soi) : « Tu le veux mon cul, hein ? ». « Tu me saoules ! » je l’entends lancer, agacé. « Vas-y, dis-le que tu en as envie… » je le harcèle, tout comme lui l’avait fait un peu plus tôt. « J’ai envie de te remplir le cul pour te montrer comment jouit un mec… » finit-il par aboyer en remontant le torse de façon menaçante, dans sa voix ce ton énervé qui le rend encore plus sexy… « Dépêche-toi ! » il ordonne. « Je vais te faire jouir, t’inquiète… » je le rassure, tout en portant à nouveau ma main entre ses pecs, l’obligeant ainsi à s’allonger une nouvelle fois sur le banc… un instant plus tard, je m’empale à nouveau sur sa queue et je recommence mes flexions sur les jambes pour permettre à la rondelle de limer sa queue et l’approcher de son orgasme… pour lui permettre de m’en mettre plein le cul… Bien qu’assez physique, j’adore cette position… c’est vraiment génial de pouvoir maitriser une sodomie passive… donner le tempo… voir s’afficher sur le visage du mâle, en temps réel, les vagues de plaisir que mes différents mouvements sur sa queue lui procurent… Je monte… je descends… je monte… je descends… j’observe son corps en train de chauffer de plus en plus… je sens que mon corps aussi est en train de chauffer dangereusement… je sens la transpiration couler de mon front, ruisseler sur mon nez… c’est un déchainement… ses mains puissantes agrippent mes cuisses, mes fesses… Je le sens bien en moi, je le sens comme rarement je l’ai senti… j’ai l’impression que son manche brulant est en train de remodeler mon intimité… mes flexions sont de plus en plus rapprochées… mes mains complétement débridées le caressent partout, s’attardent sur ses tétons, se promènent sur ses pecs, se font plaisir en effleurant ses joues, son menton, son cou… Le bobrun respire très fort, il ferme les yeux sous la montée du plaisir... ce plaisir qui monte grâce à moi… un plaisir qui monte également en moi, un plaisir qui a guidé ma main gauche, presque à mon insu, à se poser sur ma queue pour la branler vivement… Si c’est pas beau le voir grimacer de plus violemment, de voir sa respiration se transformer en ahanement… le voir perdre le contrôle de son corps et de son esprit et l’entendre enfin me lancer, le souffle coupé, la voix étranglé par le râle puissant qui veut s’échapper de ses poumons : « Tu vas m’avoir… je vais te remplir le cul… ». J’adore le voir perdre le contrôle de lui-même, être à la complète merci d’un plaisir ravageur… « Oui, tu vas me faire cadeau de ton jus, mec… » je l’encourage. « Tu vas t’en prendre plein le cul ! » il me lance, fou de plaisir. « S’il te plait… remplit-moi ! » je le chauffe. Et lorsque l’orgasme l’envahit, je vois tout son corps se contorsionner dans un spasme géant, sous l’effet d’un plaisir intense, presque douloureux qui est en train de le secouer de fond en comble… prenant appuis sur ses fesses et ses épaules, son dos se cambre, les pecs se bombent de façon impressionnante, ses tétons pointent, les abdos se bandent… La tête part en arrière, mettant bien en évidence son grain de beauté dans le cou à la Josh Harnett, laissant ressortir sa pomme d’Adam de façon saillante, animée elle aussi par des mouvements rapides, nerveux… incontrôlés… son visage se tourne sur le côté, alors que sa main se porte sur son front comme pour se protéger de la déferlante d’un plaisir aussi violent… Lorsqu’il jouit enfin, cela provoque également d’autres conséquences… tout pris à observer cette merveilleuse image de bogoss en train de se vider les couilles en moi, je n’ai pas vu autre chose venir… Jérém n’a pas encore fini de frissonner sous les décharges électriques amenées par l’orgasme que je sens une chaleur intense se propager dans mon bas ventre… tellement intense et rapide que, malgré l’empressement désespéré de ma main à lâcher l’affaire afin d’éviter un grave accident diplomatique, une succession de jets atterrit sur son torse dessiné… Le bogoss jouit et son plaisir déclenche le mien… et avec mon plaisir, mon angoisse… ça y est, là il va me démonter… putain… j’aurais dû me maîtriser… là c’est foutu… Mais là encore, mon bobrun va me surprendre… « Putain, c'est chaud… » je l'entends lâcher sur un ton surpris mais presque amusé, lorsque les premières traînées blanchâtres se dessinent sur sa peau. Moi je dis… il faudrait que tous les jours il ait à jouer et gagner un match de rugby… Pendant une seconde, j’ai grave flippé… pourtant, son attitude ayant détendu l’ambiance, je me dis que c’est sacrement beau ce torse de petit con décoré par mon jus… Et qu’est-ce que c’est bon de jouir avec sa queue au fond de moi… avec son jus au fond de moi… Et qu’est-ce que c’est bon aussi de l’entendre me lancer, dès les précipitations arrêtées : « Et maintenant, tu vas tout bien nettoyer, en commençant par ma queue et en remontant sur mon torse… ». L’épisode complet, avec des parties inédites, est sur jerem-nico.com. Je souhaite à tout le monde, l'équipe qui m'aide au quotidien dans mon projet, les contributeurs sur tipeee.com, les lecteurs fidèles et patients qui suivent mon histoire, ainsi que toute l'équipe HDS un Joyeux Noel et de bonnes fêtes de fin d’année… j’espère que ces derniers jours de 2016 vous apporteront bonheur et repos, pour commencer un 2017 plein de projets, d’envies, de belles choses. |