12 Janvier 2017
Comme promis, un aperçu de mes fichiers de travail, une sorte de making of, mes notes avant rédaction, sorte de voyage dans le processus d’écriture.
En rouge, des suggestions de lecteurs, souvent très inspirantes et à propos.
Merci aux lecteurs qui se reconnaitront, et merci à ceux qui ont pris part à la soirée du 6 décembre dernier, dont bien de propos ont été repris au fil des derniers épisodes dans les mots d’Elodie.
L’écriture d’un épisode, démarre d’un fichier comme celui-ci, bourré de notes prises à différents moments.
Le premier taf, le plus dur, c’est mettre les notes dans un ordre logique et faire des choix, car parfois les notes peuvent être contradictoires les unes avec les autres.
Une fois les notes triées et mises dans l’ordre voulu, l’écriture commence.
Une première rédaction pour transformer les notes en texte brut.
Une session de remixage pour donner au texte brut un éclat esthétique et retravailler les séquences.
Une dernière session, si possible 48 plus tard, pour fignoler les détails.
Un épisode de longueur moyenne, 10 pages, demande 20 heures de rédaction.
Du pur bonheur, mais un engagement quand même.
Fabien
Depuis le début de l'histoire, la situation n'a jamais été aussi tendue entre Jerem et Nico et, de ce point de vue, cet épisode est d'une rare intensité, il en est poignant à pleurer pour ce qu'endure Nico. Il y a d'abord la colère de Jerem. A son vieux démon, son mal être d'avoir découvert qu'il aime les garçons, s'ajoute la menace suprême que cela se sache parmi ses potes du lycée ou du rugby par le fait que Nico, qui vit mal cette relation avec Jerem qui ne l'aime pas comme lui l'aime, s'est confié à Thibault. Jerem a déjà du mal à assumer lui-même sa sexualité alors il n'est pas prêt à l'assumer aux yeux des autres.
Nico à bien fait d'affronter Jerem car même si on peut lui trouver l'excuse qu'il vit mal sa situation, cela n'excuse en rien sa façon de se comporter avec Nico et Nico ne doit plus accepter de se laisser humilier comme cela. En quoi Nico, parce qu'il est homo passif, serait "un petit PD" moins respectable que Jerem actif qui lui aussi aime les garçons et prend tout autant de plaisir à baiser avec lui ? Le fait qu'il soit actif et Nico passif n'y change rien : ils prennent ensembles leur plaisir à leur façon.
De toute évidence, Jerem, au-delà de sa colère, était content de retrouver Nico. Il éprouve quelque chose pour Nico mais ça lui coute de le reconnaitre et il tente de l'enfouir sous de la colère. Ce n'est peut être pas un amour aussi passionnel que celui de Nico mais il faudra qu'ils se parlent. C'est à Nico de mettre les pieds dans le plat et de demander à Jerem comment il voit leur relation.
Jérémie se comporte avec cruauté mais dans un certain sens je le comprends un peu (même si ça n'excuse rien). Il a peur de perdre un ami, peur que Thibault ne le voit plus pareil, pense que Jerem n'est plus un "vrai mec",etc. Même si c'est faux évidement.
Je me suis attardé autout terrain rugby car il m’a fait un sourire en me voyant
Ma cousine est avec moi et m’aide à tenir la tchatche
C’est elle qui discute, thibault vient nous parler
Pendant que
Jerem a marqué très bien joué, pas mal de monde vient le feliciter, il boit un coup
On va faire des grillades chez l’entraineur
j’adore le voir courir sur le terrain, passer devant moi en courant, tout son corps, son être, son âme au jeu, si sérieux, concentré sur le jeu, happé par le jeu, la musculature en action, comme un beagle à la chasse du gibier,
STANDARD
Joueur bien proportionné, aussi grand que musclé.
Rapide, vif et remuant
Poil court et brun, très brun
QUALITES
Joueur infatigable et rusé
un regard penetrant lorsque le jeu l’amène du coté du terrain ou je suis avec ma cousine
Les ailiers se situent au bout de la ligne d'attaque. Leur rôle offensif principal est de conclure l'action amorcée par les trois-quarts. Ce sont donc des finisseurs et en général, les meilleurs marqueurs d'essais d'une équipe. Les ailiers sont souvent les joueurs les plus rapides de leur équipe. En effet, à ce poste, la vitesse est primordiale car elle doit leur permettre de s'infiltrer dans l'espace non occupé pour aller marquer un essai, certains ailiers sont même capables de courir le 100 m en moins de 11 secondes. En phase offensive, ils ne doivent pas forcément se cantonner à leur aile et peuvent aller de l'autre côté afin de créer des surnombres pour passer la défense. S'ils sont surtout réputés pour leurs essais marqués, ils doivent être de bons défenseurs et plaqueurs pour défendre sur leur vis-à-vis mais aussi empêcher les touches (dans la mesure du possible) qui permettent à l'adversaire d'occuper le terrain.
Grand gabarit pour un ailier mais une vitesse, une agilité, une reactivité, une vivacité, une energie
Le but du jeu consiste à marquer plus de points que l'adversaire. Les points sont obtenus en marquant :
• un essai : un essai est marqué lorsqu’un joueur effectue un touché à terre dans l’en-but ; ceci peut se faire de deux manières :
1. En touchant le sol avec le ballon. Un joueur fait un touché à terre lorsqu’il tient le ballon et le met en contact avec le sol dans l’en-but. Le terme « tenir » signifie avoir le ballon dans sa main ou ses mains ou dans son bras ou ses bras. Il n’est pas nécessaire d’exercer une pression vers le bas.
2. En appuyant sur le ballon. Un joueur fait un touché à terre lorsque le ballon est au sol dans l’en-but et que le joueur exerce sur celui-ci une pression de haut en bas, de la ou des mains, du ou des bras ou de la partie avant du corps, comprise entre la taille et le cou, taille et cou inclus.
Si un joueur s'interpose entre le ballon et l'en-but au moment où le ballon est aplati, l'essai n'est pas accordé. La ligne d'en but et la base du poteau comptent comme parties tenantes de la zone d'en-but. La zone de « ballon-mort » est définie par la prolongation de la ligne de touche et la seconde limite du terrain.
Un essai rapporte cinq points à l’équipe qui le marque et lui donne le droit de tenter un but appelé « transformation » qui rapporte deux points supplémentaires s’il est réussi. La tentative de but de transformation peut se faire en coup de pied placé (ballon posé sur le sol) ou en coup de pied tombé. Lors de la tentative de transformation, le ballon doit être frappé par le botteur sur une ligne imaginaire parallèle à la ligne de touche et passant par le point où l’essai a été marqué. À l'origine, le fait d'aplatir dans l'en-but ne marquait aucun point mais donnait seulement le droit de tenter un but d'où son nom d'essai, transformable en but (try, « essayer » en anglais).
• un but : le ballon passe entre les poteaux, au-dessus de la barre transversale, sur un coup de pied « placé » ou sur un coup de pied « tombé » (drop en anglais) dans certaines circonstances, en particulier comme pénalité infligée à l'adversaire. Sauf pour la transformation évoquée ci-dessus, les buts rapportent 3 points.
dernière minute du match, l’auipe de Jérém est meneés lorsque le capitaine Philippe Saint-André tente une relance depuis son propre camp qui finira 80 mètres plus loin par un essai de Jean-Luc Sadourny qui donne la victoire aux français.
Le demi de mêlée (numéro 9) anime le jeu : c'est généralement lui qui récupère le ballon en sortie de touche, de mêlée ou de regroupement. Il choisit de jouer à droite ou à gauche vers ses arrières, de passer le ballon à l'un des avants pour tenter d'avancer en percussion au ras du regroupement, ou, plus rarement, de taper au pied au-dessus de la défense adverse. Il introduit également le ballon dans la mêlée. Agile et vif, il est capable de faire des passes rapides et précises afin de dynamiser le jeu. Demi de mêlée est souvent considéré comme un poste dangereux car en sortie de mêlée fermée, il n'est pas rare de le voir se faire plaquer par un flanqueur tout juste détaché de son pack.
Magnifique passe au pied de Thibault demi d melee pour son ailier Jerem 11. Cet essai permet à à leur équipe de reprendre l'avantage au score dans ce match qu'ils remporteront de fort belle manière.
25-24 alors qu’ils étaient 20-24 colomiers
Le match est fini
Jerem a la banane jusqu’aux oreilles, il est souriant, sautiallant avec ses potes, ils sont fous, il est fier de lui, mais il n’a pas l’attitude d’un mec qui se la pete, il est heureux, heureux avec ses potes, pour lui, mais pour ses potes aussi
Il serre thibualt dans ses bras, ils se regardent, il s ne tiennen plus en place, serrés dans les bras ‘lun de l’autre, leurs visages à moins de 20 cm, j’ai l’impression qu’ils vont s’enbrasser, ils se serrents une nouvelle fois, pecs contre pecs
Il serre julien, d’autres joueurs et à nouveau son thib
Il est felicité, les journalistes de la depeche du midi
jerem est tout souriant, il est heureux comme un gamin
Voilà, à faire jouir d'urgence c'est ça !
J'espère qu'il a quelqu'un qui sait le faire jouir comme il mérite !!!!
Mais hier il y avait le côté touchant en plus, il était au bord des larmes, tellement il était heureux d'avoir réussi c'était vraiment adorable....
Et il est vraiment adorable à la fin de son numéro, tu sens qu'il a vraiment tout donné et il est fier comme un gosse, et il a envie de pleurer....
Il est excité
Un petit sourire, il est aux anges, j’ai m’impression que rien ne pourrait le rendre plus heureux , il leve le visage au ciel
Complicité entre cohequipiers
Il est degoulinant de sueur, il est torse nu, le maillot coincé vite fait dans son short, pendouillant le long sa jambe
Elodie
si jamais après le match il veut de toi, tu le recadres, tu lu mets les pendules à l’heure… bien sur il te fait jouir, mais toi aussi, ne l’oublies jamais… s’il te baise depuis des mois, c’est que ça lui plait… et autant de contact physique, ça crée forcement une intimité, des sentiments… tu es touchant… il ne peut pas etre insensible à ton amour… ça ferait de lui un monstre… et je me refuse d’imaginer qu’un mec aussi canon puisse être un monstre
oui, mais hier il a été dur, mechant, il m’a fait mal
arrete donc de pleurer… de toute facon tu sais très bien que tu ne vas pas savoir y renoncer, ce qui serait probablement la meilleure cheose à faire, alors il faut faire avec, il va falloir que tu te fasses respecter
moi j’y vais, et tu te laisses aller à ton bobrun, mais tu t’imposes, compris ? deja tu lui fais la tete, qu’il aille à te demander pourquoi tu fais la tete, et s’il ne te demande pas, tu lui dis quand meme !
la montre de thibault
il a peut etre dormi chez lui après une soirée un peu arrosée ou pour le reconforter de sa blessure de ses inquietudes… tu sais, ça se fait ça entre potes, dormir chez son pote, dans le même lit
Mais le vent souffle fort, plus tard il remet son maillot
jerem voit nico toujours aux abords du terrain, petit sourire magnifique en coin, il fait un signe tete à nico
echange regards après match
t’as vu comme il t’a regardé, cousin, ce regard de fauve fier et touchant que tu sois là, il est content que tu sois là, content que tu ais assisté à sa victoire, ça crève les yeux
elodie s’en va
beaucoup de monde s’en va
tout le monde est parti, le vestiaire est vide
je rentre
je l’entends pisser dans les chiottes pissotières
il revient
j’ai enjambé un banc des vestiaires, odeurs, placards ouverts, odeur douche, deo bon marché
il a enjambé un autre banc, il boit, il me toise, on est à peut etre cinque metres
j’y vais, je lui en veux, et ma cousine m’a reboosté, je fais la tete
qu’est ce que t’as ?
t’y as été fort, hier…
ca va, j’étais enervé, j’étais inquiet pour le match
oui, mais je ne suis pas ton punching ball
moi aussi je me laisse baiser parce que tu es un bon coup…
mais, avoue, je te fais jouir comme rarement tu as joui, que avec moi tu prends ton pied comme jamais
il sourit, juste sourit, merdeux, vilain, moqueur, méprisant mauvais
sinon tu ne m’aurais pas baisé autant
je te l’ai dit, bonne bouche, bon cul
je joue le tout pour tout
il y en a d’autres des culs et des bouches
bien sur, tu as une queue de fou, mais je sais la rendre heureuse
et la je le vois se lever, avancer vers moi, enjamber le banc où je suis assis, se pencher en avant, vers moi, en prenant appui sur ses amins posées à plat sur le banc
j’ai eu un mouvement de recul le voyant arriver, voyant ce corps musclé envahir mon espace vital…
il me toise de très près
je regarde le gros bleu sur son épaule, desormais bien marron
je suis desolé pour ton accident dimanche dernier, j’y ai pensé toute la semaine
il ne dit rien, il me toise
il me toise, j’ai le cœur qui tape à mile et la je le vois glisser sur le banc vers moi, ses genoux poussent les miens… ce simple contact de peau chaude est divin
Il est assis face de moi sur le banc de muscu, il me sourir et c’est beau à tomber
Ce simple sourire demonte et fait fondre tous mes arguments et mes griefs comme neige au soleil
Je ne suis plus que désir
Explication finie sur son sourire et son sexe tendu
Attitude apaisée, jerem fier et souriant
avec son maillot blanc
et vert, il approche, appuye le front contre le mien
Je sens sa transpiration contre mon front, la chaleur de son corps, les odeurs de son corps , transpiration, deo, gel douche
J’arrive à voir son torse dans le baillement du col du maillot… des odeurs s’en degagent, bons, j’attrape le tissu et je ploge mon nez dedans, tout en portant une main sur a bosse cachée encore par le short de jerem
Il est sexy grave, c’est le feu qui me ravage
Je l’embrasse il se laisse faire, me mordille, quelques bisous legers, je ferme les yeau, j’ai envie de pleurer
Il s’allonge, dos sur le banc… le bosse est remarquable sous son short blanc… je comprends le signal, jme penche sur son short et j’extirpe douceent, lentement sa queeu bien raide…
Le mec a mouillé le maillot… et le boxer aussi… ça sens bon, fort, humide, sexe, ça sent la queue et les couilles… j’adore… une petite trace de mouille dans son boxer
sa queue sort comme un coup de ressort, je suis si pres que je la prends en pleine figure, elle est là belle magnifique, dure, je la hume, je me fais violence pour ne pas la prendre en bouche pour retarder le plus possible le moment divis où je gouterai à la douce raideur de son gland tiedeur
Lorsque je le prends en bouche tiede, pipi, et mouille un peu salé qui suinte sans discontinuer… c’est rare chez jerem
Jerem toujours pas douché, sens bon les odeurs de male
Ses pieds posés par terre, ses jambes d’un coté » et d’autre de la planche
Je suis toujours assis sur la planche
Sa queue est bien chaude
Allongé sur la planche, je suis les mouvement involontaires de ses bras avec la queue de l’œil, ils se plient, se croisent sur sa tete, ses biceps se contractent, ses poigs se ferment, les bras divaguent, ils ne tiennent pas en place, on dirant des gestes de bébé dans son berceau alors que ce sont les mouvements inconscient d’un beau mec en train de prendre son pied au dela du raisonnable
Mouvements de comme bébé
Son bassin ondule
Il releve la tete de temps à autre, il me regarde
Les bras pliés, il se tient aux bords de la planche
Je le vois rabattre la tete en arrière
Toujours le short à mi jambes
Le sucer avec son maillot vert et blanc
L’imaginer dans le maillot que je lui ai acheté
Je ne sais toujours pas quand je vais lui donner
Comme cadeau pour sa victoire, profitant de son humeur joyeuse ?
Il s’agrippe à la tete de la planche, il fremit, le plaisir est tellement intense qu’il ne sait plus comment se mettre…
Qu’est ce que c’est bon que de le sucer dqans ce sanctuaire à mecs… encore meilleur que le sucer après l’etrainement la derniere fois, le sucer après un match, un match dur, et gagné
Pendant que je me suce, je passe la main sur son torse, legere, je le caresse
Il releve la tete, il bombe le torse
Je me penche sur lui, je le branle, je leche son torse, sa transpi, ses tetons
Je capte les battements de son cœur, rapides, sa respiration courte, agitée, excitée
J’ai fermé la porte derrière moi
Il est souriant
Il se releve, il m’attrape par les hanches, il tire mon bassin vers lui d’un geste rapide, presque violent, je me sens à lui, je me sens comme si je lui appartenait, comme si je n’avais pas le choix, me deshabille, short, boxer, chaussures
Il se dessape à son tour
Jerem triomphant
Plus de bandage, mais un gros bleu à l’épaule
Il me releve les jambes
Il crache sur ma rondelle
Il passe un doigt
Il insiste, ça devient de plus en plus bon, il me fixe en train de jouir
Je sens son souffle sur mes couilles, qui descend
Son souffle sur ma rondelle
Il me leche la rondelle
D’abord timide
Puis de plus en plus d’ntrain
C’est bon à en pleurer
Il s’allonge à nouveau, je m’empale sur lui, les pieds par terre, genial comme position, je maitrise le role,
Je monte et descend
Je regarde son corps chaud
Envie de lui donner tout ce plaisir après ce match rude
Ses mains puissantes agrippent mes cuisses, mes fesses
Je le sens bien en moi, je le sens comme rarement je l’ai senti
Je monte, je descends, je m’empale jusqu’au fond
Je le regarde
Respirer de plus en plus fort
Le plaisir qui monte grace à moi
J’ai pris le contrôle de la sodo, de son pied de mec
T’aimes ma queue dans ton cul… il n’y a que comme ça que tu prends ton pied…
Je me sens à toi
T’en a pas eu assez de ma queue, hier ?
J’en ai jamais assez
Il releve la tete, il m’aide à monter et decendre, il me montre le bon rythme
Je le regarde dans les yeux mais c’est moi qui a le controle
Le voir grimacer, perdre le contrôle de son corps et de son esprit
Il vient en moi
Et je ne peux plus me retenir, je lui gicle sur le torse
Je suis inquiet,
Je vais jouir mais la vraie jouissance a été avant (juste reflexion Nico)
Que c’est bon de jouir avec sa queue eu fond de moi et son just au fond de moi
Tu vas nettoyer ma queue et mon torse
Je leche tout
harmonie des corps dans l'effort, passes entre les deux potes, regards entre potes, tout donner, mouiller le maillot, envie d'y arriver, d'y arriver ensemble
Jerem le snobe, pas un regard,
est-ce qu'il serait enervé que je sois là ?
regards charmeurs après la victoire
Dernier match de la saison de rugby, à cette occasion une foule impressionnante s’est amassée derrière la rambarde faisant le tour du terrain, au milieu de celle-ci sa cousine tente de faire la conversation avec Nico mais c’est peine perdue, ses seules réponses jusqu’à présent étant des monosyllabes « oui », « non » ou de simple « tu m’étonnes », tout un chacun pourrait croire que Nico est trop absorbé par le match pour s’intéresser à la conversation de sa cousine mais elle sait bien que ce n’est pas la beauté du jeu qui occupe l’esprit de Nico mais plutôt la beauté des acteurs de ce spectacle et particulière celle du premier rôle tenu par le fameux Jerem star sur le terrain comme à la ville. C’est vrai qu’il est beau, plus elle le regarde, plus elle le détaille, plus elle comprend pourquoi son cousin en temps normal si logique, si réfléchi se retourne la tête (et autre chose) sur un simple sifflement de Jerem. Chacun de ses mouvements, chacune de ses attitudes, chaque partie de son corps respire la testostérone et ça toute personne attirée par les hommes ressent ces choses-là, même elle, même si elle sait la souffrance qu’il fait endurer à son cousin qu’elle a toujours protégé de par son ainesse, le voir se mouvoir là au milieu de temps de testostérone la chamboule qu’elle le veuille ou non alors oui elle comprend comment son cousin peut se mettre dans un tel état et ne pas prendre part à sa conversation pour focaliser toute son attention sur le Jerem.
Oui Nico ne prêtait pas attention au match mais aussi au score, l’issue de ce match representant tant aux yeux de mon bobrun
oui il admirait la beauté viril de Jerem mais pas seulement, tant de beauté s’offraient à sa vue, un bras serrant le ballon faisant ressortir la musculature d’un biceps bien rond à peine couper par la manche du maillot remonté par l’action, les arrières des cuisses sous les shorts remontant des troisièmes ligne lors de la poussée en mêlée. Que ce sport est érotique, faute d’être elegant, alors qu’une touche est lancée et que Nico voit un grand gaillard soulevé à plus d’un mètre vingt du sol par deux de ses coéquipiers,
anulingus
il me met sur le ventre
le temps s’arrête, alors que Nico se demande ce qu’il se passe, il sent sur ses fesses la chaleur d’un souffle, celui de Jerem,
sentir approcher sa langue de la cambrure de ses fesses en se rapprochant de plus en plus de la naissance de la raie de ses fesses, la glisse entre les deux globes de Nico et la remonte le long de sa colonne vertébrale jusqu ‘à son cou. Nico adore ça il ferme les yeux pour mieux apprécier la caresse de la langue de Jerem qui continue son petit jeu en partant de plus en plus bas entre ses fesses à chaque passage. Nico savoure ce moment de lévitation, il sent la chaleur des mains que jerem pose tour à tour sur ses flancs, ses épaules, il sent la douceur de la langue de Jerem caressant son trou, commençant petit à petit à s’y introduire, il sent la caresse du nez dans sa raie qui accompagne cela, il sent le souffle de Jerem qui mélangé à la salive qui commence à s’accumuler entre ses fesses lui fait une sensation de fraicheur fort agréable. La langue de Jerem chauffant le derrière de Nico
il m’encule, il me baise profond, je suis très receptif, ainsi chauffé…
Un grand brouhaha des spectateurs choisit ce moment-là pour sortir Nico de sa rêverie, il met un certain temps avant de retrouver tous ses esprits et de comprendre que le match s’est terminé sur la victoire de l’équipe de ses favoris.
Mais très vite la clameur retombe, la plupart des spectateurs commence à repartir alors que les plus fervents entrainent certains joueurs vers la buvette pour partager un débriefing et une bière fraiche, Jerem fait bien évidement parti de ceux-là et Nico ne peut s’empêcher de le regarder aligner les bières en mimant des bras telle ou telle action du match.
Nico profite du départ de sa cousine pour se rapprocher de la buvette et prendre une bière se mêlant aux supporters et aux joueurs, cela dure un petit moment et, alors que Jerem est encore en tenue de match ses coéquipiers sortent déjà douchés et changés, Nico trouve cela très excitant les sportifs tout juste sortis du vestiaire amène une odeur de gel douche et de shampoing, les coupes de cheveux sont encore humides et approximatives sentant le gel et la fraicheur tout comme les habits jeans chemise pour les uns, shorts marcels pour d’autre et le mélange de joueurs encore en sueur et tenu de sport et d’autre en « propre », le mélange de ces deux facettes d’une même équipe exulte une telle testostérone, cela replonge Nico dans son fantasme surtout quand Thibaut dorénavant en short beige et marcel noir laissant toute liberté à la rondeur de ses biceps se rapproche de Jerem. Quel tableau ! l’un classe tout propre sentant bon un parfum d’homme et l’autre en sportif sentant tout aussi bon mais dans un style de sueur d’homme après un gros effort, le mélange des deux Nico se croit dans un rêve.
-toujours en train de baver, C’est Thibaut qui charrie son pote en lui tapant dans le dos, grouilles toi d’aller te changer qu’on file au barbec chez le coach,
-bah partez devant je vous rejoins après de toute façon le coach m’a laissé la clé des vestiaires
Et comme souvent dans ces cas-là, dès le premier joueur monté dans sa voiture pour partir, tout le monde lui emboite le pas et le ballet des voitures commence.
Nico voit son après-midi finir un peu en cacahuète et se dirige vers la sortie du stade, déçu de n’avoir pas pu échanger ne serait-ce qu’n regard avec Jerem, ni même avec Thibaut. Il ne sait pas trop ce qu’il espérait en venant au stade, pensait-il vraiment repartir avec l’un d’eux ou même les deux ? Pas un regard, Jerem n’a même jamais tourné la tête dans sa direction, à croire qu’il cherche à l’éviter mais pourquoi, à cause de cette nuit passée ensemble ? si c’est le cas cette erreur coute décidément très cher à Nico et une fois de plus des dizaines de questions se bousculent dans sa tête. Mais pour une fois il ne va pas les ruminer toute la soirée puisque un message vient d’apparaitre sur son portable « vestiaire mtn».
La bonne blague… quel culot
Et ben tu parles d’une charmante attention, se dit Nico, pas un échange, pas un mot, pas un regard et il croit que je vais rappliquer la queue entre les jambes dès qu’il me siffle ? il manque pas de culot, il peut courir j’irais pas. En même temps c’est l’occasion de voir un vestiaire d’après match, c’est le fantasme de pas mal de gay ça, ça doit sentir le mâle, la virilité, la testostérone, bon je vais y faire un tour juste par curiosité.
Et voilà Nico qui fait demi-tour se retrouve devant la porte du vestiaire, entre et là il sent dès l’entrée tout ce qu’il imaginait en mille fois plus prenant, ce mélange de vapeur de douche, de savon, de shampoing et de sueur a un effet aphrodisiaque sur lui, il se noie dedans, il n’aurait qu’à fermer les yeux pour voir toute l’équipe comme elle devait être là quelques instants plus tôt les uns assis sur les bancs en train de retirer pour les uns leurs chaussures à crampons, pour les autres les chaussettes massant leurs pieds meurtris par 2h de prison de cuir. D’aucun aurait déjà retiré la majorité de leur équipement se retrouvant en slip, en boxer en train de se chamailler, refaisant le film du match dans de grands gestes faisant rouler leurs muscles et danser leurs paquets prisonniers du fin tissu. D’autres évidement serait nus, se dirigeant vers la douche ou en sortant et se dirigeant vers les bains, attrapant leur serviette, posant un pied sur le banc pour se sécher la jambe, offrant une vue imprenable sur une paire de fesse musclé entrouverte par ce geste…
« t’en as pas marre de baver… »
La voix de Jerem sort Nico de ses pensées, il se retourne pour le voir dans l’ouverture de la porte du vestiaire toujours en maillot, short et chaussettes verts et blancs, couleurs de son équipe, il n’a quitté que ses crampons pour le moment
« je t’ai vu pendant le match t’avais le même regard perdu comme si tu t’imaginai ailleurs, pourquoi viens-tu au stade si c’est pour pas regarder le match. Enfin t’es là et je suppose que ce n’est pas pour te mettre au rugby, Jerem ferme la porte en laissant la clé dans la serrure, comme ça on sera tranquille, t’attends quoi pour te mettre à genou ? »
Sans même s’en rendre compte Nico se retrouve à genou, comme si son corps à une commande vocale directement reliée à la voix de Jerem, il approche du short de son sportif, trop lentement apparemment pour Jerem qui de ses mains viens plaquer la tête de Nico contre son short au travers duquel Nico peut sentir le barreau formé par une érection des plus imposantes, il a envie de savourer cet instant où il découvre l’odeur de Jerem en cet instant, odeur où il retrouve bien sur l’odeur habituel de son amant celle qui le fait tant chavirer quand il vient la retrouver à la naissance de sa queue lors des fellations de d’habitude mais là même à travers le tissu elle transpire et arrive aux narines de Nico mais Jerem ne lui laisse pas le temps de savourer cela, il a déjà fait tomber son short et boxer sur ses chaussettes et force la bouche de Nico avec son gland. Bien sûr il n’a pas besoin de forcer puisque Nico l’avale bien volontiers encore plus goulument que d’habitude sous l’effet de cette odeur qui règne autour d’eux et qui a sur lui l’effet du meilleur pétard. Il s’affaire si vite, si profondément, alternant à une vitesse folle caresse de la langue autour du gland et sur le frein et gorge profonde si bien que Jerem atteint l’orgasme en une poignée de minutes seulement , envoyant un premier jet en gorge profonde, selon le mouvement de Nico le deuxième termine au bord de ses lèvres, le 3e en fond de gorge et les 4e et 5e finissent sur son t-shirt. Jerem est essoufflé même si lui n’a fait aucun des mouvements il se sent vider et se dirige vers le banc où il s’assoit, enlève une chaussette et masse son pied avant de faire de même sur le second. Nico est resté en position, à genou encore en train de savourer le souvenir du gout de la semence de son amant et il le regarde faire exactement ce qu’il avait imaginé un peu plus tôt.
Puis Jerem se relève retire son maillot se retrouvant totalement nu et se dirige vers les douches, il ouvre l’eau et se glisse dessous toujours sous le regard de Nico qui ose enfin se lever et s’approcher pour mieux profiter de ce merveilleux spectacle, il voit l’eau atterrir sur les cheveux de son étalon puis ruisseler le long de son corps parcourant sa joue, passant par la commissure de ses lèvres puis souvent la courbe de son menton et de son cou, suivant un chemin que Nico rêve depuis leur première rencontre de suivre de sa langue, l’eau poursuit son chemin dessinant chacun des muscles de Jerem, des pectoraux aux abdominaux et une partie de cette eau passe sur son pubis pour glisser le long de sa queue avant de quitter ce corps d’apollon par le prépuce. Quelle beauté, Nico se sent entrer en trance devant ce spectacle,
Jerem reste un petit moment sous la douche il le regarde, comme s’il l’appelait, le provoquait… Nico ne se contrôle plus et se voit avancer vers Jerem, entrant sous la douche sans même avoir penser à retirer ses vêtements, se mettre à genou, ouvrir la bouche et recueillir l’eau qui quitte le sexe de son amant, goutant ainsi à ce divin breuvage mélange d’eau et d’essence de Jerem. Nico entend la douche s’arrêter, il savoure les dernières goutes tombant de sa queue, il lève les yeux et croise le regard de Jerem où pour la première il lit une hésitation, Jerem qui doute, décidemment il est dur à cerner ce male. Ce que Nico ne sait pas c’est que Jerem est en pleine réflexion interne, en voyant Nico foncer tête baissée sans réfléchir sous la douche pour retrouver la queue de son Dieu, sans même se soucier de comment va-t-il faire pour rentrer chez lui si tous ses vêtements sont trempés, de le voir ouvrir la bouche pour recevoir goulument l’eau de sa douche, c’est dingue comment peut-il être autant accro à moi se dit Jerem, comment peut-il aimer autant recevoir cette eau juste parce qu’elle a parcouru mon corps, comment peut-il aimer autant que je jouisse dans sa bouche, comment peut-il s’en délecter au point de nettoyer minutieusement ma queue de sa langue jusqu’à en avoir récupéré la moindre goutte, au point d’avoir eu un regard haineux envers mon cousin quand lui s’est précipité pour recracher quand j’ai joui dans sa bouche. Jerem aime ces regards de Nico, quand il peut voir comment il le considère comme le seul mâle quand ils sont ensemble, oui Jerem aime cette soumission alors pourquoi pas essayer un peu plus en avant, les bières offertes par les supporters ont eu un double effet sur Jerem, l’alcool s’est infiltré dans son cerveau brisant une à une les inhibitions de sa conscience, la mousse a également eu un effet sur sa vessie…
Nico suçote les dernières gouttes sur le prépuce de Jerem, toujours le regard tourné vers lui, cherchant à déchiffrer ce regard de doute, mais l’expression de Jerem change, ce voile de doute disparait laissant place à un regard direct, dominateur qui prend le dessus sur celui de Nico qui ne peut que détourner le regard montrant bien sa soumission à Jerem, au passage il capte un sourire aux coins de ses lèvres, pas le sourire enjôleur qu’il arbore la plupart du temps surtout quand il y a du monde autour, pas ce sourire qui fait chavirer tout le monde non plutôt un sourire un peu tordu, mélange de curiosité, d’excitation avec une pointe de sadisme même. La dernière goutte d’eau avalée depuis longtemps Nico garde le prépuce de Jerem en bouche jouant avec, en faisant le tour de sa langue, l’ouvrant du bout de cette dernière pour aller titiller le gland et là un jet chaud caresse sa langu
ce n’est pas la douche c’est bien plus parfumé, un vrai gout d’homme, oui Jerem est bien en train de se vider en moi se dit Nico, un vrai male qui me soumet comme je le mérite
Nico en recoit sur le visage, son t-shirt en est encore plus trempé.
Nico est aux anges
Une fois le jet terminé, Nico ouvre grand la bouche et prend la queue de Jerem, il la suce passant du gland à la gorge profonde, il descend caresser de sa langue les boules de son mâle avant de reprendre la pipe tout en défaisant de ses mains sa ceinture, ouvrant la braguette de son pantalon et d’un seul geste il se retourne, toujours à genou, descendant son pantalon et son boxer à mi-cuisse et se cambre pour offrir son trou à son mâle
mais Jerem se fait attendre alors Nico commence à onduler, passant une main entre ses cuisses pour venir se caresser les fesses trop sensuellement pour que Jerem y résiste, il s’accroupi derrière lui et sans plus de préliminaire plante son dard dans le trou de Nico jusque la garde et le pilonne aussitôt bestialement si bien que les genoux de Nico ne tiennent pas le choc il se retrouve plaqué au sol, le poids de Jerem se faisant sentir sur lui à chaque coup de rein, son souffle fort lui caressant la nuque. Nico ne peut retenir ses gémissements tant ce qu’il ressent est complexe mélange de douleur, d’excitation et de plaisir, mais son mâle ne peut tenir longtemps cette cadence folle et se retire au bout de quelques minutes trop courtes selon Nico pour jouir dans un grand râle aussi bestial que la manière dont il l’a pris en éjaculant 3 longs jets atterrissant entre les fesses de Nico.
Jerem a déjà rouvert une douche un peu plus loin se rinçant tout le corps avant de rejoindre un banc du vestiaire de se sécher et de s’habiller, il est déjà prêt à partir que Nico est encore sous la douche :
Une fois joui, retour froideur
-Je t’ai laissé un marcel un short et une paire de pompe à moi que tu puisses rentrer, j’t’enverrais un message pour que tu me ramène la clé, ferme bien derrière toi, à plus.
Il coupe l’eau passe dans le vestiaire et trouve la serviette de Jerem déjà humide d’avoir sécher le corps de son propriétaire. Il se sèche enfile le short de Jerem sans rien avoir à mettre dessous, enfile les skets bien trop grandes pour lui et attrape le marcel noir, met les bras dedans le passe sur sa tête et là il sent le parfum de Jerem se retrouvant une fois de plus au sommet de ses montagnes russes que lui fait ressentir Jerem.
Je voudrais tant partager cette victoire avec lui... être de la troisième mi temps... mais j’ai deja eu ma troisième mi temps, je ne vais pas me plaindre
Je lui lèche la rondelle
Il me chope, m’attire à lui
Il me retourne
Je suis sur le ventre
Alingus
Il me lèche la rondelle
Jamais on ne m'a fait ça
Il se déchaîne
Je chauffe, j'en tremble je ne sais plus où j'habite, je perds le contrôle, je couine
Sa main se pose sur ma bouche pour me contrôler
Il se déchaîne
J'ai trop envie de l'avoir en moi
Baise moi jerem
Il m’encule
lorsqu'il vient en moi par derrière je me fais la réflexion je suis à lui , mon cul est à lui, à sa disposition
il me défonce
ensuite il me retourne, il s’allonge
viens t’empaler sur ma queue
lorsqu'il jouit son corps est pris par des spasmes
Il jouit et son plaisir déclanche le mien
Lorsque je jouis grosse traînée sur son torse,
C'est chaud, je l'entends lâcher
Ce qui chasse ma peur de lui déplaire et m'encourage a lâcher les jets suivant sans m'arrêter
C'est beau ce torse décoré de mon jus
je vais à la douche je le rejoins à la douche comme l'autre jour et je me laisse pisser dessus voir l'autre épisode vestiaires. éviter les répétitions
Cigarette fenêtre petite, nu, beau
Il repart avec son t-shirt blanc moulant
Je l'arrête en l'attrapant par la bonne épaule en faisant attention
T'en as jamais assez toi
Toi non plus, plains toi
Je le suce à nouveau tout propre avant qu'il parte
Mais son attitude à déjà changé
Regrette t il déjà son audace, bouffé cul, mes giclées sur son torse
Pendant que je le suce son portable sonne il sort de sa poche et réponds
Oui, Thib…
J’arrete
Sa main prestement portée sur ma tete m’indique que je dois continuer
oui j'arrive, j'arrive… j’ai eu un problème de démarrage avec la voiture mais j'ai trouvé…
Il ecoute, son souffle est bruyant
c'est bon, j'arrive
il ecoute
Je ne suis pas essoufflé juste un peu naze,
J'ai fait une série de pompes, un peu de musculation
il raccroche il range son téléphone, il porte les deux mains sur ma tête des grands coups de reins dégradé gicler des grosse giclée dans ma gorge et se casse
Il me remplit la bouche et se tire
Laisse la clé dans ma boîte lettres
Jerem, on se voit quand
Je sais pas
J’ai envie de te voir… même si c’est juste pour baiser
Je vais avoir du taf et je vais passer du temps avec mes potes, sauter des nanas, et voir pour me tirer à la rentrée
Tu vas partir ?
Oui je pense
Et le rugby ? Comment ils sont faire ?
La véritable question
Et moi comment je vais faire sans toi ?
Tu te fera sauter par un autre
C’est de toi que j’ai envie
Laisse moi rire…
T'as aimé ?
Mais c'est avec moi tu prends plus ton pied plus qu'avec nanas
Tu n'en sais rien du tout, t'inquiète ma queue sait ce dont elle a envie
Ce sourire si beau de gamin, je voudrais le voir tous les jours sur son visage
Non définitivement je n'aime jerem pas que pour son côté gravure de mode, bien que j'aime son corps, je désire son corps mais avant encore son bonheur
Il est bien, heureux, content, fier, il se lache
Il est chaud comme une baraque à frites