•  Bonjour à toutes et à tous !fabien75fabien@yahoo.fr       Bonjour à toutes et à tous ! Jérém&Nico       Bonjour à toutes et à tous ! jeremXnico      Bonjour à toutes et à tous ! pour participer à cette aventure

     

    Le lendemain de ce premier après midi de baise avec le beau Jérémie, je retournais en cours très impatient de le revoir et surtout de savoir s'il avait envie de recommencer. Comment me comporter avec lui? Comme si de rien n'était? Ce qui s'était passé, nous aurait-t-il rapprochés? Une complicité inattendue aurait-t-elle pris la place de l'indifférence qu'il m'avait montrée jusqu'à là? Je rêvais les yeux ouverts...
    Balayant de mon regard fébrile l'espace autour de moi, impatient de le voir, je le cherchais dès mon approche du lycée.
    Je le croisai dans un couloir, juste avant le début du premier cours. Comment décrire la beauté de sa tenue à quelqu'un qui ne l'as pas vue? Un t-shirt noir col rond, parfaitement coupé, sculptait le relief de ses pectoraux et dessinait avec une précision redoutable la forme en V de son torse de nageur; un petit jean délavé bien ajusté finissant sur des chaussures bleu pétard complétait sa tenue, un ensemble comme toujours très simple mais tellement masculin, redoutablement sexy. Pour parachever le tout, et me faire craquer à souhait, voilà ce tatouage dessiné juste en dessous de la manchette droite, gravé sur cette peau mâte que je savais désormais être d'une telle douceur ... et que dire de ce petit grain de beauté dans le cou juste au dessus de la ligne du col du t-shirt... juste une envie folle de l'embrasser à cet endroit. Putain, il était trop trop bandant. Brun, jeune, débordant de virilité et de puissance, tout simplement beau. J'avais qu'une envie, c'était de me mettre à genoux devant lui et de le sucer.
    Salut - je lui lançai, avec une esquisse de sourire.
    Salut - me jeta-t-il froidement, en passant son chemin.
    Cinq minutes après, j'étais assis en cours à quelques bancs de lui. Je n'arrivais pas encore à croire que hier après midi ce beau male m'avait laissé accéder à sa sexualité, à sa virilité. Il m'avait fait ce cadeau. Mon fondement pulsait encore du souvenir de ses coups de butoir, ma gorge conservait la puissance de ses assauts, ma bouche gardait le souvenir de la vigueur de ses jets et de son goût de jeune mâle. Mes doigts, ma langue et mes fesses, la sensation jouissive du contact avec l'extrême douceur de sa peau... Je n'arrivais pas à décrocher mon regard de ce corps magnifique qui m'avait donné tant de plaisir quelques heures plus tôt. Je sentais ma queue gonfler dans mon caleçon rien qu'en repensant à tout cela.
    Assise à côté de lui, voilà Anaïs, sa copine du moment: je l'imaginais en train de se faire sucer par elle, en train de la sauter, et je me demandais s'il prenait avec elle autant de plaisir qu'il semblait en avoir pris avec moi.
    C'était quoi au juste ce qui s'était passé hier? Rien qu'un coup? Un extra? Juste pour voir? Etais je le premier mec pour lui, tout comme lui il l'avait été pour moi?
    En tout cas, rien que de le regarder c'était un pur bonheur: négligemment appuyé au dossier de sa chaise, le buste incliné, les jambes allongées et croisées sous la table, le t-shirt tendu sur son torse parfait, la petite chaine abandonnée sur le coton noir, sa poitrine qui monte et descend, ondulant au rythme de sa respiration ample et paisible, le regard fixé vers un point indéfini de la pièce, Jérémie était jouissif à mater. Tout ce qui constituait la beauté du monde à mes yeux à ce moment précis, était assis là, sous mes yeux. Je sentais en moi une excitation, un frémissement qui partait de mes tétons frottant contre mon t-shirt, une vibration qui se propageait à mon nombril, à mon ventre, à ma queue jusqu'à pulser entre mes fesses là où le souvenir du premier passage de son gourdin était encore très vif. Mon désir était brulant, mon envie de lui totale, la queue dure comme un piquet. Bref, j'avais envie de lui sauter dessus.
    J'étais tellement absorbé dans mes pensées que la prof de français me rappela à l'ordre. Heureusement elle n'avait pas remarqué, ou du moins pas relevé, que je n'arrivais pas à détacher mes yeux de Jérémie... je pensais à la chanson de Gloria Gaynor "you're just to good to be true/can't take my eyes out of you...". A force de le regarder, à un moment je finis par croiser son regard de braise: je fus sidéré de voir dans ses yeux, en lieu et place de son petit sourire charmeur, un regard bien noir qui ne signifiait qu'une chose, qu'il fallait que j'arrête de le mater.
    Putain que je suis con, tu l'as braqué, t'as cramé toutes tes chances... Je m'en voulais, je commençai à transpirer, mon visage était en feu. De plus, j'avais l'impression que tout le monde avait remarqué mon manège. Putain, j'aurai du me maitriser... Mais comment faire, et merde à la fin, alors que je crevais d'envie, envie de lui, envie de ses envies. Ce fut le seul contact que j'eus avec lui pour le reste de la journée. Par ailleurs, j'avais l'impression qu'il m'évitait.
    Pendant la pause je le vis rouler un patin à Anaïs. Je crus reconnaitre dans le regard de cette fille le même désir qui faisait vibrer mon corps à la simple vue de Jérémie. Elle aussi avait envie de le sucer et de prendre son gourdin entre ses cuisses. Elle aussi avait envie de faire l'amour avec lui sur le champ. J'avais envie de l'embrasser aussi et cet idée me fit bander encore de plus belle.
    J'attendis toute la journée un signe de sa part mais rien de tel ne vint. Ce soir là il avait entrainement de rugby et il ne demanda pas ma compagnie, ni pour des révisions, ni pour autre chose. J'avais l'impression qu'il m'en voulait.
    Le soir, dans mon lit, en me branlant pour trouver le sommeil, je me disais que je n'avais été pour lui qu'une aventure sans suite. Et que de toute manière j'avais tout gâché avec mon comportement de midinette en chaleur.
    Le lendemain, mercredi, j'étais censé réviser chez moi. Je passai la journée à me branler en repensant à Jérémie et en angoissant pour la suite de nos relations.

    Il m'aurait fallu attendre jusqu'au jeudi pour le revoir. Depuis le matin, je décidais de me ressaisir. Mot d'ordre: éviter de me faire du mal, éviter de le regarder. Mais comment faire... lui aussi, putain, il n'avait qu'à pas être si mignon! Et en plus il y mettait le formes... Encore un t-shirt noir, col en V cette fois, mettant en valeur son physique plus qu'avantageux; et la petite chaine posée sur la peau de son torse, qui avait en plus l'air d'être rasé de près; et son brassard... Pour m'achever, voilà que la veille il avait trouvé le temps d'aller chez le coiffeur, ses cheveux étaient plus courts, surtout sur les cotés et derrière la nuque. Tout ce que j'aime chez un mec... Résister à la tentation de le mater était une torture. Mais je décidai de me faire violence et de me concentrer sur les cours...
    Ce ne fut qu'en fin d'après midi que mes angoisses se dissipèrent. Jérémie s'approcha de moi pour me lancer discrètement:
    Viens réviser chez moi dans 15 minutes.
    J'étais le mec le plus heureux de la terre.
    Dix minutes après j'étais devant sa porte. Il m'avait invité pour des révisions, mais il n'était là plus questions de maths; il s'agissait désormais de révisions de géo, oui, la géographie du physique, de la sexualité et du plaisir d'un jeune homme au charme ravageur.
    Je n'avais pas tapé deux coups à sa porte que le battant s'ouvrit, laissant apparaitre le bel apollon dans toute sa splendeur. Il referma la porte derrière moi, prit appui sur le mur juste à coté, et enleva son t-shirt noir dévoilant sa magnifique nudité. Putain que ça lui allait bien ce t-shirt noir, comme un gant. Et putain comme ça lui allait mieux encore, sans t-shirt. Décidemment tout lui allait, et tout particulièrement la nudité. Je ne m'étais pas trompé: il avait rasé son torse de près. J'étais aveuglé par le désir...
    Viens me sucer - me lança-t-il adossé au mur, la ceinture et le premier bouton de son jean défaits laissant entrevoir un bout de son caleçon bleu. Je saisit le bord inferieur de mon t-shirt blanc pour l'enlever mais Jérémie m'intima de le garder.
    Une expression sensuelle, une étincelle lubrique dans son regard m'autorisa à imaginer qu'il avait envie d'une sexualité sans tabous, du genre qui ne devait pas être à l'ordre du jour ni avec Anaïs ni avec ses autres conquêtes féminines, souvent trop entravées par le refus de la soumission au sexe masculin pour savoir correctement donner du plaisir à un mec. Ou alors, ayant exploré avec ses nombreuses conquêtes toutes les facettes de la sexualité hétéro, il regardait désormais vers d'autres horizons de jouissance, il envisageait de goûter à de plaisirs inédits. Peut-être cherchait-t-il ni plus ni moins qu'un esclave sexuel, un vide couilles disponible à la demande et ne sachant rien lui refuser d'un plaisir qu'il voulait totalement débridée: à ce compte là, j'étais l'homme de la situation.
    Une seconde plus tard j'étais à genoux, j'avais descendu son jean et son caleçon bleu et je m'accrochais à ses jambes musclées pour donner de l'élan à ma fellation. Putain de mec, il avait également rasé autour de son sexe...
    Putain, je l'entendais gémir, putain de bouche à pipes... Vas-y, avale la bien...
    Il sentait vraiment bon, ce mélange de parfum pour mec et d'odeur de sexe masculin, la douceur et la tiédeur de sa peau me faisaient tourner la tête. Son bassin assenait désormais de grands coups dans ma bouche. C'était un mouvement assez violent, cadencé par sa respiration bruyante suivant le rythme de ma fellation. Je sentait qu'il avait envie de jouir dans ma bouche. Pour lui donner encore plus de plaisir, je levai mes bras pour lui titiller le tétons. Je le senti frissonner et ma queue en tressaillit.
    Putain, putain, t'es vraiment une bonne salope, tu aimes la queue, tu aimes ça, hein? Vas y, lèche moi les couilles...
    Je m'exécutai avec grand bonheur, tout en continuant à le branler. Il aimait ça.
    Quelques minutes plus tard, il fourra sa bite au fond de ma gorge et après quelques foulées il m'inonda la bouche de ce liquide chaud et épais que j'avalai sans besoin qu'il m'y invite. Ma langue s'affaira autour de son gland pour rien laisser de ce nectar parfumé. Jérémie remonta alors son caleçon et son jean et sortit torse nu sur la terrasse pour fumer sa cigarette.
    J'avais une trique pas possible, le cul en feu: je le regardais à travers la baie vitrée torse nu au soleil, une pure vision de bonheur. J'avais trop envie de lui. J'étais encore à genoux et je décidai de m'allonger sur le lit pour l'attendre.
    Lorsqu'il revint, il me dit d'un ton froid et autoritaire - enlève ton jean, baisse ton caleçon et met toi sur le ventre... tu vas te prendre un sacré coup de queue...
    T'as envie de ça, n'est pas ma salope - je le sentis proférer derrière moi quand je me fus acquitté de ses ordres - vas y dis le!
    Oui, s'il te plait, défonce moi le cul avec ta queue de mec hétéro bien actif, fais de moi ta salope, inonde moi de ton jus...
    Il cracha dans sa main et en enduisit sa queue; il écarta mes fesses et cracha deux fois sur ma rondelle. il appuya son gland et je sentis mon sphincter se distendre et laisser passer la queue de Jérémie jusqu'à la garde. Il s'arrêta au fond, savourant le chaud enserrement de mon ti trou autour de son sexe.
    Tu la sens bien là, mon cochon? Tu as envie que je te baise...
    Oui, oui, s'il te plait...
    Et là il commença à se faire plaisir: avec le coin de l'œil j'apercevais un peu de sa silhouette, un peu de ses mouvements à la recherche du plaisir viril; mes narines aspiraient le parfum de sa peau, mes hanches, me épaules, essuyaient la prise puissante, la domination de ses mains, mes oreilles entendaient ses mots, mes fesses et mon anus recevaient les assauts de sa queue; mais une fois encore il était derrière moi, et j'étais ainsi privé de l'image de ce beau mec en train de me baiser.
    Il me pilonna pendant de longues minutes avec une cadence terriblement sensuelle. Il m'éclatait littéralement le cul. Il s'arrêta un instant, bien au fond de moi.
    Dis moi de quoi tu as envie, espèce de chienne en chaleur!
    J'ai envie de ta semence bien au fond de mon cul passif... envie que tu te vides en moi, j'ai envie de satisfaire tous tes besoins de mec, j'ai envie de te vider les couilles...
    Mais tu es vraiment une grosse salope, tu vas prendre cher...
    Il m'attrape alors par les épaules et commença à augmenter le tempo. C'était violent mais terriblement excitant. A chaque coup de rein mon corps était projeté en avant, tandis que ses couilles frappaient mes fesses et son gland se poussait de plus en plus loin dans mes entrailles.
    Putain de cul à foutre, tu vas te prendre des bonnes giclées...
    Oui, oui, oui, vas y, fourre mon ti cul de ta semence...
    Tu le veux, n'est pas, tu vas l'avoir mon foutre dans ton cul, t'attends que ça, je vais t'inonder avec mon jus, je vais me vider en toi
    Oh oui, oh oui, oh oui...s'il te plait...
    Pendant que ses coups de reins ralentissaient, il lâcha, la voix cassée par le pic d'excitation qui entoure l'orgasme:
    Tiens ma salope, ça vient, ça vient, oui, oui, oui, tiens!... prend ça!... prend ça!... et ça!...
    Il était en trains de jouir. Chaque coup de rein, chacune de ses exclamations correspondant désormais à une bonne giclée de sperme fourrée au plus profond de mon intimité. J'étais baisé et comblé, même si j'étais frustré de ne pas l'avoir vu en train de me baiser et de jouir. Il resta en moi pendant quelques instant, j'adorais sentir sa queue me posséder encore après l'orgasme, et sentir la mienne pulser d'excitation.
    Quand il sortit de moi, il m'ordonna:
    Remonte ton caleçon et retourne toi.
    Je le regardais, le torse dégoulinant de sueur. C'était beau. Ce mec, ce canon de mec, s'était vidé dans mon cul après m'avoir ramoné le cul pendant un long moment. J'étais aux anges. Et en plus ce n'était pas fini.
    Me voilà allongé sur le lit, le cul cassé et plein de son sperme. Il se mit califourchon assis sur mon torse toujours recouvert par mon t-shirt. Prenant appui sur ses genoux, il enfonça sa queue dans ma bouche. Elle avait à peine perdu de sa vigueur; mais voilà que, caressée par mes lèvres et fouettée par ma langue, je la sentais grossir au fond de ma gorge. Un bonheur sans égal. Je me laissai baiser la bouche à son gré jusqu'au moment où il la retira et, se relevant davantage sur ses genoux, il avança son bassin vers ma bouche pour venir poser ses couilles sur mon nez.
    Lèche les!
    Je descendis avec ma langue à ses coucougnettes bien pendantes et, un moment durant, ma langue joua avec, procurant à Jérémie un vrai plaisir. C'est indescriptible la sensation de découvrir la géographie érogène du physique d'un beau gosse.
    A force de jouer avec ma langue dans son entrejambes, je finis par m'approcher de sa rondelle.
    Putain t'es une vraie salope, vas y lèche mon fion...
    Et en disant cela, il se retourna de façon que j'aie un accès plus facile à son ti trou.
    Continue, vas y, enfonce ta langue bien au fond...
    J'étais tellement excité, d'autant plus que je sentais désormais son jus suinter de mon ti trou et couler au long de ma raie.
    Je pris ses fesses musclées et je les écartai pour aller encore plus loin avec ma langue.
    A un moment je sentis son sphincter se contracter à plusieurs reprises au même temps que plusieurs jets allaient frapper violemment le coton de mon t-shirt et d'autres aspergeaient copieusement mon caleçon, pile autour de cette bosse que formait ma queue.
    Il essuya sa bite dans mon t-shirt et il se leva.
    Tu devrais y aller, mec, je dois sortir aussi. Il me tendit alors une chemise à passer par dessus mon t-shirt trempé de sa jouissance. Au troisième orgasme, la quantité de jus était impressionnante. Qu'est ce qu'il avait du fourrer alors dans mes entrailles...
    Lorsque j'attrapai la porte de sa chambre pour partir, il me lança durement:
    Eh mec, si tu veux continuer à venir réviser ici, arrête de me mater en cours, sinon ça va pas la faire du tout!
    Ok, je ferai attention.
    T'as intérêt!
    Salut, à demain...
    C'est ça...
    Ce soir là, dans mon lit, je me branlai trois fois en reniflant tour à tour sa chemise qui portait l'odeur frais et jeune de sa peau et celui captivant de son parfum et mon t-shirt qui portait, lui, l'odeur intense et délicieux de la virilité de Jérémie.


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    Oui, c'est puissant et fascinant la sexualité d'un garçon de 19 ans...
    Encore il y a une heure je n'osais imaginer pouvoir un jour accéder à l'intimité de ce bel étalon et voilà qu'il vient de m'annoncer qu'un troisième tour est à l'ordre du jour...
    Met toi sur le ventre - il me lance d'un ton ferme, très directif. Je vibre, je frissonne. Et surtout je m'exécute. Il est derrière moi, je sens la présence de son corps musclé dans mon dos. Avec ses genoux il écarte mes jambes. Le rêve érotique qui a peuplé tant des fois mes moments de plaisir solitaire va enfin se réaliser. Le bon sens voudrait qu'il enfile une capote, le désir est d'un autre avis. J'espère qu'il ne va pas la mettre, de toute manière, j'ai déjà avalé ou léché deux éjaculations abondantes, et j'ai envie de lui faire confiance. Et surtout j'ai trop envie de me sentir fourré par le jus de ce mec...j'ai trop envie de me savoir rempli de sa semence au plus profond de mon intimité. Le désir rend fou.
    Il descend mon caleçon juste ce qu'il faut pour pouvoir accéder à mon ti trou. Je le sens cracher, sans doute dans sa main, sans doute pour mouiller sa queue. Ses mains saisissent fermement mes fesses, les écartent: il crache sur ma rondelle. Je suis sa chose. Je sens sa queue appuyer sur mon ti trou. La boite de capotes n'a pas bougé de sa place. Je suis aux anges. Je vais me faire sauter par Jérémie. Le beau gosse. J'en frissonne. Ma queue va exploser. La sienne fait de vas et viens dans ma raie, me chatouillant la rondelle. Il me fait languir. Au bout d'un moment, le cul en feu, je ne peux me retenir de lui lancer: Prends moi s'il te plait, trop envie... s'il te plait!
    T'inquiètes, tu vas la sentir passer...
    Son gland vise à présent ma rondelle. Il pousse. Mon orifice oppose résistance à cette tentative d'intrusion. A nouveau il saisit mes fesses, les écarte et recrache sur ma rondelle. Il appuie à nouveau son gland, lentement. Et là, petit à petit, je sens son sexe vaincre la résistance de mon anus, je sens ma rondelle s'ouvrir, s'offrir aux besoins sexuels de ce mec: centimètre après centimètre, je sens sa queue glisser en moi, remplir mon cul, prendre possession de mon intimité, apporter 18 cm de puissance sexuelle entre mes fesses si passives, si offertes, écrasant de sa virilité le peu de sexualité masculine qui est la mienne et la réduisant à l'impuissance.
    Je me rend compte à ce moment là que j'adore me sentir débordé par la puissance sexuelle d'un garçon. J'adore m'imaginer impuissant face à un beau mec. Adorer sa queue, m'enivrer de son plaisir et oublier le mien. Me sentir sa femelle. Savoir que c'est lui le seul mec de nous deux. Me sentir passif, soumis, dominé. Sentir que mon plaisir dépend du sien, que mon plaisir est le sien.
    Il pousse encore avec son bassin et elle avance avance avance. J'adore ça, c'est indescriptible. Je suis fait pour ça, prendre une queue dans mon cul. C'est ma première fois et c'est la queue de Jérémie. Je suis comblé. Elle est arrivée au fond de sa course, je sens la peu douce et tiède de ses couilles contre mes fesses. J'écarte encore un peu plus les jambes pour m'offrir davantage à lui. Il ne bouge pas, sa queue remplit mon anus.
    Putain qu'est ce que c'est serré... c'est chaud...sa respiration est bruyante, entremêlée de soupirs bref et intenses. Le mec doit savourer cet instant, son plaisir, il doit jouir de la domination virile qu'il exerce sur moi, de cette sensation de m'émasculer par le débordement de sa sexualité. Cette sensation d'être le...mec.
    C'est ça que tu voulais, ma queue dans ton fion? Tu la sens bien là, vas y dis-le! C'est ça que tu voulais, être empalé pas ma bite!
    Oui, oui, oui, je la sens bien, j'adore te sentir en moi, j'adore sentir mon cul défoncé par ta bite... là c'est vraiment le pieu pour moi!
    J'étais presque dans un état second. Oui, le désir rend fou. Sa queue au plus profond de moi, la peau douce de ses abdos appuyant sur mes fesses; son parfum si frais, si masculin, désormais associé à une odeur de mec et de baise qui montait petit à petit, son goût persistant dans ma bouche, ses mots, son attitude dominatrice... j'en pouvais plus.
    Baise moi stp stp stp, vas y prend ton pieu, c'est toi le seul vrai mec ici, moi je suis là pour t'offrir du plaisir - je le suppliai.
    Tu es mon vide couilles, voilà ce que tu es.
    C'est ça, je suis ton vide couilles, fais toi plaisir, baise moi comme t'as envie et autant que tu veux...
    Là je te promet tu vas prendre cher... au bout de deux décharges je suis beaucoup plus long à venir. Je vais tellement t'éclater le cul que tu vas me demander d'arrêter par pitié!
    C'est tout ce que je demande...
    Vas y supplie moi encore de te baiser!
    S'il te plait, s'il te plait, baise moi, défonce moi autant que tu en as envie et soulage toi dans mon ti trou...
    Je me soulagerai là où j'en aurai envie!
    Et là il commence à me pilonner.
    D'abord un peu plus lentement, ensuite avec une vigueur intense. Au début j'ai un peu mal: il faut dire aussi que pour sa première fois, mon anus a affaire à un engin plutôt imposant; mais ce magnifique gourdin se fraye bientôt un chemin confortable dans mon intimité et la douleur laisse la place à un plaisir intense. Ses vas et viens, ses coups de reins me secouent de fond en comble; à chaque foulée je sens ses couilles frapper contre mes fesses. C'est le pieu absolu. Je gémit de plaisir.
    Tu fais ça trop bien, ta queue m'excite trop, c'est vraiment le pieu...
    Prend ça salope!
    C'est vrai, je suis sa salope, je suis le réceptacle de son plaisir. Pour moi, le pieu véritable est celui de faire jouir un garçon. C'est un plaisir psychologique bien avant d'être un plaisir physique, et c'est le nirvana.
    Ses coups de reins sont divins. Pour mieux me pilonner, il s'agrippe tour à tour à mes épaules ou à mes hanches, il serre ses mains puissantes autour de mon corps pour mieux prendre son élan, pour mieux atteindre son bonheur sexuel.
    La situation est tellement excitante, mes muscles sont tendus à l'extrême; sans que j'y touche, voilà que ma queue, serrée dans le caleçon, écrasée sous mon ventre, est prête à laisser exploser ma jouissance. Le gland frotte contre le tissu du caleçon sous les mouvements des coups de reins assenés par Jérémie et je sens monter du bas ventre cette chaleur qui annonce l'orgasme.
    Je vais pas pouvoir me retenir - je lui annonce.
    Vas y mouilles ta culotte comme une vraie salope, mouille pendant que je te baise, vas y!
    Je ne peux vraiment me retenir plus longtemps. Je sens plusieurs flots de sperme sortir de ma queue et tremper mon caleçon. J'ai joui mais pas Jérémie. Il continue donc de me pilonner comme avant. Parfois il s'arrête au fond de moi en savourant pendant un instant sa position de mâle dominant; ensuite il reprend son affaire de plus en plus vigoureusement.
    T'as vraiment un bon cul pour accueillir de la bite...
    J'ai joui et mon excitation est un peu retombée, mais ma soumission au plaisir de beau gosse rend encore suffisamment excitante cette situation pour que je prenne encore du plaisir à me faire sauter. Je le laisse continuer, ma queue toujours bandée, espérant qu'il ait bien envie de m'offrir ce cadeau précieux, quelques jets de sa semence fourrés bien au fond de mon cul.
    Comme tout à l'heure, à nouveau je sens la cadence de ses coups de boutoir se ralentir et ses allées et venues se faire plus amples; c'est le signe qu'il va jouir. Je me prépare à accueillir au plus profond de moi son éjaculation, avec une excitation qui me fait vibrer tout le corps.
    Putain, putain de cul à bite...
    Il faut alors imaginer ma frustration quand je le sens sortir de moi, appuyer son gland juste au dessous de ma rondelle et lâcher, rythmé par des râles bien virils, quelques bons jets chauds dans la raie entre mes fesses.
    Une seconde après il s'allonge sur le lit à coté de moi. Je ne peux croiser son regard, perdu dans le vide. Je sens son jus couler sur ma rondelle et glisser sur mes couilles pour terminer dans mon caleçon. Sa queue est magnifique, toujours raide, luisante de son sperme.
    Viens la nettoyer... - me lance - t'as pris ton pieu, maintenant il faut nettoyer ma queue; vas y! - exige-t-il devant ma nouvelle hésitation - sinon ça sert à quoi de se taper un mec s'il ne fait pas les trucs que les nanas ne veulent pas faire?
    Je surmonte alors rapidement la réticence qui me fait réfléchir avant de prendre en bouche une queue qui sort de mon cul; ainsi, pendant qu'il me regarde faire, avec ma langue je fais une toilette complète de cette queue qui n'a toujours pas débandé. Je retrouve le goût de son foutre, associé à quelque chose d'un peu plus fort mais ce n'est pas désagréable.
    Une fois terminé, je le regarde allongé sur le lit, le regard à nouveau loin de moi. Sous la respiration encore un peu accélérée par l'effort lié au long ébat, son torse se soulève au rythme de sa respiration, les muscles abdominaux et pectoraux ondulent comme vagues sur un champ de blé sous le vent au printemps. C'est l'image du mâle repu, le calme après la tempête des sens. C'est beau à voir et c'est bon de savoir que c'est moi qui lui a rendu ce service.
    Ma contemplation ne dure hélas qu'une seconde, il se lève, enfile son caleçon et son t-shirt blanc et sors fumer.
    Epuisé, je remonte mon caleçon et je m'allonge sur le dos. Je sens la présence de son jus sur ma peau, autour de ma rondelle, sur mes couilles et dans mon caleçon qu'il avait tout juste baissé pour avoir accès à mon petit trou.
    Seul sur le lit, je passe deux doigts dans mon entrejambe pour collecter un peu de ce jus et le sentir. Je ne peux résister à la tentation de goutter avec ma langue et je finis par tout lécher. Un instant plus tard ma main retourne à mon entrejambe pour une deuxième moisson; âpres avoir ramené un peu de jus à l'entrée de mon petit trou, j'introduis un doigt pour faire rentrer un peu de ce nectar que Jérémie a refusé de déposer en moi. Ma langue ne se prive pas de nettoyer ma main à la fin de sa mission.
    Je suis vraiment épuisée. Je sens sa présence et son gout dans ma bouche, dans mon trou, sur ma peau; mon ti cul est frustré de n'avoir pas reçu en son intérieur le fruit de sa masculinité; mais je suis heureux, heureux de qui s'est passé cet après midi, inimaginable encore deux heures auparavant; heureux car cette privation ressemble à la promesse de nouveaux plaisirs à venir.
    Il rentra un instant après. Vas y, rentre chez toi - me dit-t-il.
    Pendant que je m'habille, il s'allonge sur le lit, son corps magnifique moulé dans son t-shirt blanc et son caleçon noir. Il allume la télé. Il commence à zapper. Putain qu'il est beau. Ses couilles doivent être bien vides, sinon j'aurai bien voulu recommencer. Un mec comme ça, je me disais, est fait pour faire l'amour.
    Après avoir récupéré mes notes si inutiles, je me dirige vers la porte.
    Salut, je lui lance, puisque il ne décroche pas les yeux de l'écran.
    A plus - me retourne, sans me regarder.
    A demain!
    C'est ça...
    La porte de sa chambre claquée derrière moi, je sens un grand sens de vide. J'aurai aimé quand même un peu de chaleur, un simple mot de sa part pour me dire qu'il avait aimé, pour savoir s'il avait envie de recommencer.
    Je rentre chez moi à la fin de cet incroyable après midi. Mon caleçon trempé de mon sperme, de son sperme. Dans ma bouche un gout persistant, dans mon fondement le souvenir palpitant et sensible de cette pénétration prolongée, dans la tête l'image de ce corps d'apollon tout tendu à la recherche du plaisir, le sentiment de ses envies précises, ses attitudes dominatrices...
    Je suis tellement excité que j'en ai mal aux couilles; à la maison je me soulage sous la douche. Le soir dans le lit, je fais suivre ce caleçon doublement trempé. Une dernière branlette en le reniflant et en repensant à la sexualité de Jérémie et je m'endors.
    Demain c'est mardi, et je le reverrai en cours.


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    Je le regarde planté là, dans l'encadrement de la porte, en train de me jauger. Jérémie est très très beau, et vraiment super bien foutu; de plus il est charmant. Et ça, il ne le sait que trop bien. Oh que oui, il le sait; il sait qu'il a du pouvoir sur les gens et il sait que son sourire est une arme redoutable capable de faire tomber bien de barrières. Et il s'en prive pas. Charmant il l'est naturellement, charmeur il l'est par choix délibéré. Être désiré au delà du raisonnable et pouvoir choisir avec qui terminer sa soirée en disant merde à tous les autres, voilà ce qu'il aime. La mise en valeur de sa beauté naturelle, avec le soin de sa personne, avec des tenues simples mais sexy à souhait: des beaux jeans bien coupés, des t-shirt moulants, sa coupe de cheveux bien soignée sans en avoir l'air, son parfum si masculin et étourdissant, autant de provocations pour toutes celles et tous ceux qui n'auront jamais aucune chance avec lui.
    Il mesure parfaitement le pouvoir que sa beauté et son charme exercent sur les gens, femmes et hommes; et si la grande majorité des premières, et bon nombre des derniers, sont sensibles à ses atouts, voilà qu'il exerce sur presque tout le monde une forme de magnétisme et de charisme qui va bien au delà de son charme, une sorte de fascination qui se dégage naturellement de lui et qui le rend tout naturellement "mâle dominant".
    Non, on ne peut pas rester insensible à son sourire, à sa masculinité débordante, à sa jeunesse insolente. Et, en ce qui me concerne, sa queue me fait tourner la tête.
    Il esquissa un sourire avant de rentrer dans la chambre. J'étais à sa merci. Il ne referma pas la porte de la terrasse; une petite brise caressait mon torse que j'avais dénudé pendant sa cigarette. En traversant la pièce, il souleva son t-shirt et il l'enleva, le jetant négligemment sur un meuble. Son dos nu dépassant du jean était d'une beauté à rendre homo n'importe quel hétéro. La chaîne qui entourait son cou au dessous de la ligne bien dessiné de ses cheveux bruns, posée sur cette peau mate, était à craquer. En s'approchant du lit, il se tourna de 3/4 par rapport à moi. Je le regardais se défroquer et tout abandonner sur le sol. Je me demandais qu'est ce qu'il envisageait pour la suite... l'idée de ne pas savoir et d'être à sa merci m'excitait au plus haut point. Il s'allongea sur le lit, accoudé. Son torse était une vision magnifique. Cou, chute des épaules, biceps, pectoraux, tétons, abdos, chute de reins; et cette ligne de petits poils bruns et fins qui descendait depuis son nombril comme à indiquer le cheminements vers son sexe, tout cet ensemble anatomique était le dessin d'une harmonie parfaite, une déferlante de désir et une promesse de plaisir.
    Seul le caleçon DIM noir restait à sa place. Encore j'hésitais, incrédule devant à ce qui m'arrivait. Encore il me tira de mes rêveries pour me montrer que tout cela était bien réel.
    Maintenant tu sais où elle est, viens t'en occuper...
    Le ton de sa voix, qui traduisait une assurance et une virilité très affirmé pour son jeune âge, son sourire insolent, son regard coquin, tout cela rendait cet instant chargé d'une sensualité et d'un érotisme insoutenables. Rien que le regarder c'était du plaisir; savoir qu'il était là à ma porté était jouissif. J'aurai voulu faire durer cet instant pour toujours. Au bout de quelques secondes, le voyant s'impatienter j'obtempérai. J'enlevai mon jean et mes chaussettes.
    Garde ton caleçon et ne t'avise pas de te toucher pendant que tu me suces...
    Il avait les idées claires le mec.
    J'acquiesçai et j'avançai vers le lit, attiré par son caleçon comme une aiguille par un aimant. Sa queue raide à l'incroyable dessinait une belle bosse. J'attendais des consignes, elles ne tardèrent pas.
    Tu la veux, n'est pas, t'en a pas eu assez?
    C'était exactement cela. Je ne savais pas si répondre ou pas. Répondre par l'affirmative ç’aurait été me conformer à ce rôle de salope et de vide couilles que je commençai à assumer.
    Vas y, dis le que tu l'aimes ma queue! Ce n'était plus une question mais un ordre.
    Dis le que ça fait des années que tu en as envie et que tu te branles en fantasmant dessus, dis le que tu as envie que je te défonce le cul avec!!
    Le ton était si appuyé que je ne pus m'empêcher de répondre "oui c'est vrai" au comble de l' excitation.
    C'est vrai quoi?!
    Je sentis qu'il voulait que je me soumette à lui. Je décidai de lui faire plaisir.
    Oui, c'est vrai que j'ai envie de me faire baiser par un mec aussi canon que toi, j'ai envie d'avoir ta queue en moi, envie que tu jutes en moi, il n'y a que come ça que je vais prendre mon pied...
    Suces moi déjà et on verra ensuite si tu mérites que je me vide dans ton cul!
    J'entrepris alors de lui sucer la queue de bas en haut, ma langue tournant avec gourmandise autour de son gland; je lui léchais les couilles tout en le branlant et en titillant ses tétons magnifiques, ce qui avait l'air de l'exciter outre mesure.
    Je me retrouvai avec sa queue au fond de ma gorge, son bassin ayant repris à mettre de grands coups de reins. Il aimait vraiment décider lui même de son plaisir, contrôler la situation. Il y avait une sorte de rage dans son excitation, une vigueur agressive, prédatrice. C'était que du bonheur pour moi. J'étais de plus en plus sa salope, le réceptacle de son plaisir exclusif.
    Trop engagé sur cette voie, ne pouvant désormais revenir en arrière, je décidai de me lâcher dans ce rôle. J'avais envie de le surprendre, de lui faire un truc que sans doute aucune fille n'avait dû lui proposer auparavant. J'avais bien un truc dans la tête, mais j'hésitais, ne sachant pas s'il allait aimer. C'était un pas de plus dans le chemin de ma soumission à sa queue, à sa sexualité, à sa virilité. J'hésitais. Car les mecs prétendent, dans leur doctrine hétéro et leurs non dits, qu'ils n'aiment pas que l'on touche à cet endroit.
    Trop excité et trop envieux, je décidai quand même de m'y aventurer en douceur. Extirpant ma bouche de la domination de sa queue, j’entrepris de lui lécher les couilles, tout en continuant à le branler. De ses couilles, ma langue est ensuite descendue tout doucement et de plus en plus bas entre ses fesses. Je le sentais frissonner. Cela m'encourageait; je m'enhardissais tout en guettant le moindre signe de réticence. Mais rien de tel ne vint; au contraire, sa respiration et ses gémissements m'indiquaient qu'il prenait un pied que j'aimais imaginer lui être inédit. Rassurée, je trouvai l'audace de pousser le bout de ma langue jusqu'au bord de sa rondelle. Mes coups de langue, que j'administrais légers et espacés, le faisaient frémir. C'était un bonheur sans égal que celui de découvrir les touches sensibles du corps de ce beau garçon. Je continuais mes doux coups de langue jusqu'à que je sentis sa main se poser à l'arrière de ma nuque et pousser mon visage encore plus profondément entre ses fesses musclées. J'en déduisit qu'il voulait que j'y aille franco.
    Trop pris dans mon exploration, je fus contraint de lâcher sa queue. Ma langue se délia alors, elle devint aussi audacieuse que faire se peut. Souple et insatiable, elle cherchait à s'insinuer de plus en plus profondément dans l'intimité de Jérémie. Se devinais son plaisir à ses gémissements et à sa respiration saccadée. Qu'est que c'était bon! Je touchai mon caleçon. Il était trempé de la mouille que ma bite, au comble e l'excitation, continuait à lui envoyer.
    Jérémie se branlait en même temps. Je continuais à lui titiller la rondelle; au bout d'un moment je la sentis se contracter et se relâcher plusieurs fois. Le mec avait joui pendant que je lui bouffais le cul. Un instant après je sentis sa main repousser ma tête. Je relevais alors mon buste et je le regardais, beau à se damner, le torse marqué par plusieurs trainées de ce nectar dont le goût persistait dans ma bouche, ce jus blanc et épais qui brillait à la lumière du jour. L'odeur qu'il dégageait me rendait dingue.
    Je croisais son regard de braise.
    T'attends quoi? me demanda-t-il froidement.
    Sans vraiment comprendre le sens de sa question, mais frustré par ce gâchis, excité comme jamais, j'osai lui demander: je peux nettoyer ça?
    Il acquiesça d'un signe de tête. Je me penchai alors sur ce torse magnifique et je le parcourais de fond en comble pour recueillir son jus si dense et parfumé. Ma langue se baladait et frémissait sur sa peau douce et tiède, parcourant avec volupté les sillons et les crêtes de ses abdos et de ses pectoraux. Et ses abdos, putain, ils étaient durs comme du béton. Alors que sa peau était, elle, douce, tiède, soyeuse, un bonheur. Je sentais ses muscles réagir au passage de ma langue. Une giclée avait atterri sur un téton. Quand ma langue y arriva, ça le fit sursauter. Encouragé, j’entrepris d'y tourner autour avec le bout de ma langue, avec des coups légers et d'autres plus appuyés. Au bout d'un moment je fus agréablement surpris de voir que sa queue, à moitié retombée après ce deuxième orgasme, venait de raidir soudainement. Je m'empressais de nettoyer la dernière goutte se sperme autour de son gland quand je l'entendis me dire:
    Ça te plait de bouffer mon jus... T'as de la chance, t'as pas fini d'en bouffer...
    C'est puissant et fascinant la sexualité d'un mec de 19 ans... mon 5 à 7 n'était pas terminé...


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    Jérémie a 19 ans. Il est brun, des beaux cheveux assez courts, toujours bien coiffés, un torse en V magnifique, des épaules carrées, sculptés par le rugby, un cou puissant. Aujourd'hui, en cette fin d'année de lycée, il porte un t-shirt blanc bien moulant, cou en V assez profond d'où dépasse une chaine dorée. Son t-shirt est comme une deuxième peau qui semble taillée sur mesure tant il met en valeur les lignes magnifiques de son torse. Ultra sexy. Il se rase le torse, mais ça commence à repousser. Le blanc du t-shirt fait ressortir encore plus la couleur mate de sa peau. Un brassard tatoué juste au dessous de la manchette droite. Bandant. Beau, un sourire ravageur aux lèvres. Craquant. Charmant naturellement, charmeur par acharnement. En un mot: une bombe. Cinq ans qu'il me fait bander en classe; 5 ans que j'ose tout juste le regarder et presque jamais lui parler. Mais cette année ça a changé. Trop sollicité par la gens féminine, cette année de bac il a trop baisé et pas assez révisé. Il est arrivé à la fin du dernier trimestre avec pas mal de retard dans presque toutes les matières. Le jour qu'il a pris une brêle en math, je lui ai proposé de l'aider à réviser. C'était le mois d'avril avant le bac. A ma grande surprise il a dit oui.
    Je le retrouve alors chez lui en fin d'après midi après les cours. En tapotant à sa porte d'internat, j'ai le cœur qui bat la chamade. Je me dis "t'es con, pourquoi tu t'imposes ça, tu vas être à côté de lui pendant des heures, tu vas sentir son parfum, tu vas avoir envie de lui, tu vas même pas arriver à te concentrer tellement il te fait craquer... tu lui as proposé de l'aider juste pour te rapprocher un peu de lui, alors que de toute manière tu 'auras pas le cran de tenter quoique ce soit: car d'abord tu n'oses pas, tu as peur que ça se sache; ensuite, tu as peur qu'il te mette son poing dans la gueule; et enfin, tout simplement, tu te dis, il est trop canon pour toi.
    La porte s'ouvre, il apparait dans l'embrasure. Beau comme un dieu, le même jean et t-shirt blanc moulant que tout à l'heure. Sa barbe brune de trois jours ajoute encore à son charme. Avec son plus beau sourire il me dit "Entre". Je vais pas tenir, je craque littéralement. Dans mon ventre une étrange sensation, un désir qui me ravage.
    Sa chambre d'étudiant est une véritable tanière de mec. Du bordel partout, le lit défait dans un coin. Une grande boite de capotes juste à coté. Je me surprend à imaginer combien de filles ont dû trouver leur pied dans ce lit avec ce beau mâle. Il parait qu'il a même sauté la prof d'anglais, qui a le double de son âge.
    Putain qu'il sent bon, je crois que je vais le supplier de me laisser le sucer. Au lieu de quoi, je m'installe à la petite table juste à côté de lui. J'ouvre un cahier de notes et je lui demande ce qu'il veut réviser en priorité. Il me dit qu'il me fait confiance. J'essaye de me concentrer, je commence à lui parler maths. Je sens son regard perçant sur moi. Je me sens mal à l'aise. Je finis par croiser ses yeux noirs si charmants. Son sourire au coin des lèvres a quelque chose d'étourdissant, de magnétique, un truc qui me fait penser à Colin Farrell à l'époque du film La Recrue. Je suis trop tendu pour penser à lui renvoyer un sourire. J'ai soutenu son regard pendant quelques seconds et je viens de m'apercevoir que j'ai arrêté de parler. Lui aussi s'en est aperçu, et son petit sourire est devenu un grand sourire qui embrase son beau visage aux traits virils. Je retourne à me notes, mais pas longtemps. Du coin de l'œil je m'aperçois qu'il est en train de se tripoter le paquet. Je me dis qu'il est en train de la rajuster dans le jean. Mais il continue. Je ne veux pas regarder, je ne veux pas qu'il s'aperçoive que je suis intéressé. Je ne suis pas assez fort, je finis par tourner un peu la tête: je vois une bosse dans son jean et sous le tissu je devine une belle poutre serrée pas le coton. Son t-shirt est un peu soulevé en bas du dos et le bord d'un caleçon noir DIM dépasse. Entre les deux, un bout de peau est à l'air. Je l'ai vu torse nu quelques fois, en sortant des douches avec une serviette autour de la taille, une fois ou deux lors de soirées bien arrosées. Ça fait mal d'être pd et de côtoyer des mecs comme ça... Et là j'ai trop envie... J'ai fini pour me tourner complètement vers lui sans m'en rendre compte; je regarde sa main caresser négligemment le jean et je n'arrive plus à m'en détacher.
    "Qu'est ce que tu mâtes?" me demande-t-il. La honte. Je reviens vers mon cahier, rouge comme une pivoine. "Eh mec - me dit en posant une main sur mon épaule - je sais que tu veux la voir, je sais que tu en as envie... alors viens la chercher...".
    Arrête de déconner ...
    Je déconne pas...
    Je n'arrive pas à le regarder. Il me saisit alors la main et vient la poser sur sa braguette.
    Je déconne pas...viens défaire mon pantalon...
    Il s'est levé, il est désormais adosse au mur, viril à craquer.
    J'hésite, alors il m'ordonne: Mets toi à genoux et suces!
    Mon cœur va exploser. Il ne rigole pas. J'en ai trop envie et après tout c'est ce qu'il veut.
    Je le rejoins, je me met à genoux, je défais sa ceinture, sa braguette, j'arrive à la lisière de son caleçon. Un parfum de propre mêlé à un léger parfum de sexe masculin monte à mes narines, étourdissant. Sa poutre, raide comme un piquet, dessine une belle forme sous son caleçon. Je le descend. Là aussi c'est coupé court, au dessus de la queue et sur les couilles. En plus d'être magnifique, il est soigné, le bougre. Elle est là, devant mon nez, droite, raide, belle, délicieuse. Devant mon hésitation, il avance le bassin, il vient forcer mes lèvres. J'ouvre la bouche, je l'avale presque entière. Il commence alors des va et viens avec son bassin. Je lève les yeux pour le voir prendre son pied. Il respire fort, il gémit.
    Tu en avais envie, n'est pas petit cochon, n'est pas petite salope, j'ai vu comme tu me regardais, je savais que tu avais une bonne bouche à pipes, vas y comme ça, vas y comme ça...
    Ma langue se promène avec entrain et gourmandise sur son gland rouge, tout essayant pour lui donner le plus de plaisir, essayant de découvrir ce qu'il aime, ce qui le fait frissonner, recherchant le bon tempo de sa jouissance. J'avale sa queue jusqu'au fond de ma gorge, il semble apprécier.
    Tu l'aimes ma queue, vas y suces là comme ça, vas y, t'es un bon pédé, il te faut une queue de mec pour prendre ton pied....
    Il me saisit la tète et recommence à mettre de grands coups de bassin et à envoyer sa queue jusqu'au fond de ma gorge. Le bas de son t-shirt vient taper sur mon nez. J'aperçois son nombril, ses abdos, un parfum de bon, de propre, de tiède et de mec s'en dégage, ça me fait tourner la tête. C'est un engin de 18 cm qu'il envoie au fond de ma gorge sans management alors j'essaye de fermer un peu la bouche pour me protéger.
    Il voit la chose autrement: Ouvres bien la bouche, vas y, c'est comme ça que c'est le meilleur...
    Je m'exécute. Je soulève son t-shirt pour aller titiller ses tétons. D'un geste rapide il me retourne, tête contre le mur. Il est debout devant moi, les deux mains appuyés au même mur. Il rentre sa queue dans ma bouche et recommence à la baiser avec une vigueur renouvelée. Ça me fait un peu mal mais c'est si excitant de me soumettre complètement au plaisir d'un si bel étalon. Je fais glisser mes mains sous son t-shirt pour exciter ses tétons.
    Il frissonne de plaisir. Je sens qu'il n'est pas loin d'exploser. D'un ton péremptoire il me lance: Je vais jouir et tu vas tout avaler...
    Ses coups de butoir changent de rythme: les allez retour se font plus lents, plus amples. Je l'entend lancer des "oui, oui, oui, oui..." presque en état d'hypnose. Et il jouit dans ma bouche: un après l'autre, 5 ou 6 jets chauds et épais. Les deux premiers atterrissent bien au fond de ma gorge, je le sens couler en moi sans besoin d'avaler. Les autres arrivent sur ma langue, étalant dans mon palais ce gout un peu fort et un peu salé... que j'adore.
    J'ai juste le temps de nettoyer avec ma langue les dernières gouttes de son jus autour de son gland; sans un regard il remonte le caleçon et le pantalon; il attrape le paquet de cigarette sur la table où j'avais ouvert mes notes inutiles. D'un geste viril il allume la clope et il sort sur la terrasse. Je le regarde, de dos, appuyé au mur, en plein soleil: je regarde sa silhouette parfaite moulée par ce coton blanc super bien coupé; les manches épousent à la perfection les muscles saillants de ses biceps, et la lumière de cette fin d'après midi du mois de mai met encore plus en contraste la couleur ambrée de sa peau venant des ses origines napolitaines et la couleur immaculée de son t-shirt.
    En ce moment je n'ai pas encore joui, je n'ai même pas défait mon pantalon, il ne m'a même pas touché, à part avec sa queue; j'ai son gout dans ma bouche et je n'arrive pas encore à réaliser que tout ça s'est produit. C'est un gout un peu amer, quand de mes lèvres il s'enlève... et ça m'excite, je sens ma queue exploser dans mon pantalon, je la sens mouiller mon caleçon.
    D'une chose je suis sur, j'ai envie de me faire baiser par ce mec, j'ai envie de l'avoir en moi, de m'offrir à lui pour son plaisir le plus total, de me sentir possédé par lui, de me savoir fourré par le fruit chaud et épais de sa virilité. Je défais mon jean et je commence à me branler quand il rentre et il me lance d'un ton ferme: arrête de te branler, j'en ai pas fini avec toi...


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    Mon histoire...

    ... c'est l'histoire d'un mec...

     

    D'abord, bonjour à vous, bonjour à toi, et merci de l'intérêt que tu portes à mon projet, si tu es arrivé à lire jusqu'ici...

    Voilà, moi c'est Fabien.

    Mon histoire perso c’est l’histoire d’un mec qui a toujours aimé écrire, une passion de laquelle la vie l’a éloigné pendant 15 ans.

    D’où est sortie cette histoire, alors ?

    Bonne question... je n'en sais rien... cette histoire était en moi, ou plutôt elle s'est accumulée en moi jour après jour… peut-être que tout simplement j'avais besoin de temps pour vivre, imaginer, rêver ou rater ce que j'écrirais plus tard.

    Et puis, à un moment, tout cela a commencé à déborder, comme de la lave en fusion...

    L’histoire de Jérém et de Nico est née un jour de l’été 2014, lorsque j’ai eu envie de me mettre à mon clavier et de commencer à remplir de la page.

    Jérém&Nico ce n’est pas mon histoire. C’est une histoire imaginée, mais une histoire qui contient, le plus souvent entre les lignes, pas mal de mon histoire.

    Très vite, l’écriture est allée bien au delà des quelques épisodes imaginés au départ… depuis le départ, elle vient toute seule, comme une évidence.

    Mon histoire, c’est l’histoire d’un mec qui ne voit pas le temps passer quand il est devant son clavier, qui oublie tout et vit avec ses personnages

    Un mec qui voudrait avoir à disposition plus de temps pour écrire, sans s’empêcher de vivre à côté.

    Voilà l’histoire. Oui, je sais, c’est un projet un peu fou.

    Mon histoire c’est aussi l’histoire d’un mec qui a envie de mener à bout un projet qui représente beaucoup à ses yeux.

    Un mec qui a besoin de VOUS.

    La chanson dit « je peux faire ça tout seul »… mais non, je ne peux pas faire ça tout seul.

    J’ai besoin de vous pour aller plus loin et pour y aller plus vite!

    Qui est prêt à sauter le pas avec moi ?

     

    Qui est prêt à me suivre dans cette aventure ?

     

    C'est qui ce Fabien ?

     


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